MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.


« Nous devons absolument nous unir pour réinventer le monde », a déclaré Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies, qui appelle à un niveau de gouvernance «multilatéral» pour «fonctionner comme un instrument de gouvernance mondiale».

« Le problème est que le multilatéralisme actuel manque d’échelle, d’ambition et de mordant », a déclaré Guterres lors d’une conférence de presse jeudi sur le lancement de la « réponse globale de l’ONU au COVID-19 ».

« Et certains des instruments qui ont des dents, montrent peu ou pas d’appétit à mordre, comme cela a été le cas récemment avec les difficultés rencontrées par le Conseil de sécurité. », s’est plaint le secrétaire général de l’ONU.

Dans le monde interdépendant d’aujourd’hui, « les intérêts nationaux ne sont pas facilement séparés du bien mondial », a affirmé le perfide António Guterres, ajoutant que les bouleversements économiques et sociaux causés par la pandémie de coronavirus «ont mis à nu des inégalités graves et systémiques» à travers le monde, et ont souligné sa fragilité face à la «crise climatique», la menace d’une guerre nucléaire et «l’anarchie dans le cyberespace».

Face à de tels problèmes, « les dirigeants mondiaux doivent être humbles et reconnaître l’importance vitale de l’unité et de la solidarité », en déduit-il avant de se lancer dans un plaidoyer pour la mise en place d’un gouvernement mondial.

« Nous devons repenser la manière dont les nations coopèrent. » « Nous avons besoin d’un multilatéralisme en réseau, réunissant le système des Nations Unies, les organisations régionales, les institutions financières internationales et autres », a-t-il déclaré. «Et nous avons besoin d’un multilatéralisme efficace qui puisse fonctionner comme un instrument de gouvernance mondiale là où il est nécessaire.»

Il a réitéré le même message lors d’une conférence de presse virtuelle le 26 juin pour marquer le 75e anniversaire de l’adoption de la Charte des Nations Unies à San Francisco. Pour imiter ceux qui ont saisi la Charte comme l’occasion de «planter quelque chose de nouveau» après la dépression et les guerres mondiales, le multilatéralisme doit changer, a-t-il dit.

«La société civile, les villes, le secteur privé et les jeunes sont des voix essentielles pour façonner le monde que nous voulons.» Des petites phrases de Guterres que George Soros applique à la lettre en ce moment en façonnant sa révolution mondialiste.

Guterres a énoncé dans sa conférence virtuelle d’autres problèmes qui nécessiterait cette gouvernance mondiale : la méfiance généralisée et croissante à l’égard des gouvernements nationaux, les « inégalités, discrimination, corruption et manque d’opportunités partout dans le monde – des griefs qui doivent encore être traités, y compris avec un renouvellement de contrat social. »

Il y a aussi la possibilité d’une autre pandémie de «un nouveau virus transmis aussi facilement que COVID-19 mais aussi mortel qu’Ebola», a-t-il ensuite prévenu.

Et il y a «le fléau de la désinformation» à combattre », a-t-il ajouté pour prévenir que la gouvernance mondiale doit aussi signifier le règne d’une pensée unique considérant toute analyse discordante comme une « fake news » interdite.

António Guterres a hâte de discuter de ces questions lors de l’assemblée générale annuelle des Nations Unies en septembre «dans le format nécessaire», a-t-il déclaré jeudi.

Ce n’est pas la première fois que le socialiste Guterres utilise la pandémie de coronavirus pour pousser à la «gouvernance mondiale».

Il a proposé en mars que 10% du PIB mondial soient placés dans un fonds administré au niveau international et un «plan de relance coordonné» pour répondre aux retombées économiques et sociales de la pandémie.

Si les pays acceptaient le plan, les Nations Unies ou une agence de coordination similaire recevraient l’équivalent d’environ 8,7 trillions de dollars US, un montant sans précédent qui serait 2 900 fois plus élevé que le budget annuel de l’ONU de 3 milliards de dollars US, ont commenté des spécialistes.

Le fonds international proposé par Guterres concorde parfaitement avec l’initiative «Great Reset» lancée par le Forum économique mondial, avec le prince Charles d’Angleterre et le Fonds monétaire international (FMI).

Guterres soutient pleinement «The Great Reset», dont les élites mondialistes discuteront en janvier 2021 à Davos avec des participants en ligne du monde entier.

Notons qu’António Guterres milite également pour un droit mondial à l’avortement dans le contexte de la pandémie de coronavirus.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

7 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires
Soupape
Soupape
il y a 5 années

1 – L’exploitation de la bêtise humaine … dure depuis plus de 6000 ans
c’est même la seule activité … qui continue à prospérer …

Donc les températures … vont devenir des notions subjectives …
… et jmlp a même déjà prévu
que désormais les températures seront … médicalement assistées.

2 – En tout cas, ce ne seront plus les thermomètres qui les mesureront,
mais les grands mètres de la mossânerie …
qui règleront ainsi … à vue de nez … le climat saucial …

3 – D’autres seront chargés … d’infiltrer les mouvements subversifs
afin de prendre leurs températures … politiquement assistées …

4 – Quant à nos présidents … il faudrait
qu’ils soient depuis longtemps … médicalement assistés …
et certains devraient même … être A l’ASILE !!!

5 – Pour mettre fin … au développement galopant de la paranoïa,
je propose que désormais, …

nous ne soyons gouvernés … qu’UNE ANNEE SUR DEUX …

Ainsi quand les politiques … seraient en cure de sommeil,
ils nous ficheraient la Paix, … et nous serions beaucoup plus heureux !

Jean-Pierre Dickes
il y a 5 années

Oui, les journalistes de France-Infos sont des spécialistes du politiquement correct. Un de mes correspondants m’écrit :

 » En 1132 en Alsace les sources se tarirent et les ruisseaux s’asséchèrent. Le Rhin pouvait être traversé à pied. En 1152 la chaleur était si intense que l’on pouvait faire cuire des oeufs dans le sable. En 1160, à la bataille de Bela (en Hongrie), un grand nombre de soldats moururent en raison de la chaleur excessive.

En 1276 et 1277, en France, la récolte d’avoine et de seigle fut totalement détruite par la chaleur. En 1303 et 1304 la Seine, la Loire, le Rhin et le Danube pouvaient être traversés à pied. En 1393 et 1394 un grand nombre d’animaux tombèrent morts et les récoltes anéanties en raison de la chaleur.
En 1440 la chaleur fut excessive. En 1538, 1539, 1540 et 1541 les rivières européennes étaient littéralement asséchées. En 1556 il y eut une sécheresse généralisée dans toute l’Europe. En 1615 et 1616 la canicule s’abattit sur la France, l’Italie et les Pays-Bas. En 1646 il y eut en Europe 56 jours consécutifs de grandes chaleurs. En 1676 des canicules à nouveau. Les mêmes événements se reproduisirent au XVIIIe siècle. En 1718 il n’y eut aucune pluie entre les mois d’avril et octobre . Les récoltes furent brûlées, les rivières asséchées et les théâtres fermés à Paris par ordre du Préfet de police en raison des températures excessives. Le thermomètre enregistra 36 degrés Réaumur ( 45 degrés C) à Paris. Dans les jardins de la banlieue arrosés les arbres fruitiers fleurirent deux fois pendant la saison.
En 1723 et 1724 les températures étaient extrêmes. En 1746 l’été fut particulièrement chaud et sec et les récoltes furent littéralement calcinées. Pendant plusieurs mois il n’y eut aucune pluie. En 1748, 1754, 1760, 1767, 1778 et 1788 les chaleurs d’été furent excessives. En 1811, l’année de la comète, l’été fut très chaud et le vin très bon y compris à Suresnes. En 1818 les théâtres parisiens restèrent fermés pendant un mois en raison des chaleurs excessives, la chaleur avait atteint 35 degrés C. En 1830, alors que des combats avaient lieu, le thermomètre afficha des températures de 36 degrés C les 27, 28 et 29 juillet. En 1832, lors de l’insurrection du 6 juin, le thermomètre releva une température de 35 degrés. En 1835 la Seine était presque à sec. En 1850, au mois de juin, au cours de la seconde épidémie de choléra de l’année le thermomètre afficha 34 degrés ».

Il s’agit bien d’un extrait de journal de 1852 et non pas de je ne sais quel site complotiste.
La canicule de 1718 qui aurait fait 700 000 morts !
Les climato-réalistes, ceux qui osent rappeler l’importance des cycles naturels sans accuser uniquement le CO2, prétendu gaz à effet de serre partiellement d’origine anthropique ? Ceux qui font remarquer qu’à une époque où il n’y avait pas encore le moindre soupçon de début de révolution industrielle (avec son CO2, gaz vital, que l’on nous présente pourtant comme un polluant), il y avait déjà eu de très nombreuses vagues de chaleurs extrêmes ainsi que des sécheresses catastrophiques, entraînant des centaines de milliers de morts, des révoltes, des guerres …

On nous assène la relation CO2/températures pourtant comme étant un dogme indiscutable

C’est vrai que nous vivons une très forte et inhabituelle canicule, mais à l’évidence il n’y a rien de nouveau sous le soleil !
Amusez-vous à taper « sècheresse 1718 » sur Google et vous en saurez beaucoup plus. A moins que vous ne vouliez rester sur la certitude que la canicule actuelle est un phénomène exceptionnel qui n’a encore jamais eu d’antécédents, car provoqué par l’activité humaine.