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MPI avait déjà abordé le sujet du « tourisme de la mort » pratiqué par la Suisse où des étrangers viennent se faire euthanasier. La compagne de Michel Onfray fut de ceux-là, comme le rapporte un article de http://www.20min.ch.

Perdre un être cher est toujours une indicible souffrance, et l’athée Onfray n’échappe pas à cette règle qui lui est supérieure. De même qu’il n’échappera pas à la mort, il n’échappera pas non plus à ce Dieu dont il s’applique à vouloir, peut-être de bonne foi, nier l’existence.

La fin de l’article pose la vraie question :

L’intellectuel, qui se revendique athée, se demande si c’est forcément bien de subir la douleur et «normal de souffrir pour vous permettre d’accéder au seigneur», comme l’argumentent certains opposants à l’euthanasie. «Non, répond-il, je pense qu’on doit pouvoir défendre l’euthanasie, un des derniers droits de l’homme à acquérir!»

Dieu. Encore Dieu. Si Dieu existe, alors la souffrance a un sens, elle est purificatrice et expiatoire. S’Il n’existe pas, alors Onfray à raison : l’Homme est sa propre fin et l’euthanasie répond donc à nécessité philosophique.

La vraie question dans ce débat de société est celle de l’existence de Dieu : on ne peut combattre l’euthanasie en se basant sur un argumentaire purement naturel. Il nous reste à reprendre Aristote en remontant à Saint Thomas pour démontrer à nos contemporains que ce Dieu que la société ignore existe, et qu’Il est la seule et unique fin de l’Homme.

Il n’est pas meilleure preuve que la mort pour démontrer que l’Homme n’est pas sa propre fin. A nier Dieu, la finalité de l’homme se retrouve réduite à nourrir les vers et se dissoudre dans la terre, finalité somme toute peu compatible avec cette capacité extraordinaire que nous avons de réfléchir.

Admettez Dieu monsieur Onfray, vous comprendrez la mort et la souffrance.

Xavier Celtillos

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Paul-Emic
Paul-Emic
il y a 6 années

je crois que vous êtes un peu optimiste sur le nombre de catholiques disposés à donner 50 euros par personne et par an pour entretenir le patrimoine. Mais il est évident et personne ne semble relever que la confiscation des biens patrimoniaux de l’Église en 1905 ainsi que la dénonciation du concordat sont, bien que d’une certaine distance dans le temps, directement à l’origine de cet état de paupérisation qui amène à cet situation catastrophique.

Daniel Daflon
Daniel Daflon
il y a 6 années

Si ben macron et sa bande de pieds nickelés ne gaspillaient pas l’argent public (Plusieurs milliards d’euros distribués avec largesse à ses bamboulas d’Afrique il y a quelques mois, uniquement pour avoir le plaisir de jouer au Père Noël et de se faire cirer les pompes par ses copains dictateurs), il y aurait largement de quoi restaurer tous les bâtiments historiques. Je n’inclue même pas le montant exorbitant du coût de l’immigration et tout ce que nous coûte l’invasion des ennemis de la France encouragée par macron et ses sbires.

Cadoudal
Cadoudal
il y a 6 années
Répondre  Daniel Daflon

la République maçonnique anti française dépense le 1/3 du budget de l’ Etat depuis des décennies pour financer sa politique de destruction de la France au moyen de l’ immigration-invasion ;( environ 70 milliards €/ an)

quand on hait , on ne compte pas.

semde
il y a 6 années

Autres sources de revenu non considérées dans cet article !
Juan Branco, Notre Dame et la psychopatologie de nos oligarques
https://www.youtube.com/watch?v=qLpj_wax0YI

Isabelle P
Isabelle P
il y a 6 années

Très bon point de vue. Encore faudrait-il que les saigneurs de l’état ne nous pompent pas tout notre fric.
« Dieu premier servi ». Comme il se doit.

Sancenay
Sancenay
il y a 6 années

Ah, comme vous êtes sévères ! Notre pauvre oligarchie a tant de souci sur les bretelles ! Il a fallu financer , le « vagin de la reine », ( à ne pas confondre avec le collier: la cause est sensiblement plus noble) ), sans compter  » le plug annal ».Il va falloir emballer l’Arc du triomphe célébrant le génocidaire républicain ( pardon pour le pléonasme) général Turreau. Il y a des priorités tout de même pour les petits architectes pressés du nihilo-mondialisme.