En 1939, le réalisateur de dessin-aminé Tex Avery avait réalisé Une journée au zoo, où pendant tout le film un visiteur passe son temps à exciter le lion. Réprimandé à chaque fois par le narrateur, il dit penaud « Je suis un vilain garçon ». A la fin, on voit le lion dormir paisiblement et le narrateur de dire : « Tiens, notre petit ami a dû rentrer chez lui ». Le lion lève alors la tête, fait non avec un grand sourire et ouvre grand sa gueule. Et dans les profondeurs de son ventre, on voit deux yeux et on entend une voix caverneuse dire : « Je suis un vilain garçon »…

C’est exactement ce qui arrive en ce moment au Parti Démocrate. Ayant semé la haine et la division depuis l’élection de Donald John Trump, ils récoltent le fruit de leur imbécilité criminelle. A Plantation (Floride), le FBI a procédé à l’arrestation d’un amérindien, César Altieri Sayoc Jr, âgé de 56 ans. Ce chef d’entreprise (Native American Catering & Vending, Proud Native America One Low Price Drycleaning) aurait envoyé 13 “bombes” à des personnalités connues pour avoir tenus des propos haineux à l’encontre du Président Donald John Trump, voire d’avoir incité à sa mort.

Les personnes ciblées étaient les suivantes :

– Le milliardaire magyaro-israélite (par ailleurs indésirable tant en Hongrie qu’en Israël…) George Sörös, financier mondial de l’extrême gauche.

– L’ancienne candidate Démocrate Hillary Diane Clinton qui le 9 octobre avait appelé à la guerre civile et qui, pendant la campagne, avait qualifié de sous-hommes (en utilisant le terme injurieux de deplorable ) les électeurs de Trump.

– L’ancien président des Etats-Unis, le Kenyan Barack Hussein Obama.

– L’ancien vice-président Joseph Robinette Biden Jr

– l’ancien patron de la CIA John Owen Brennan,

– l’ancien patron du Renseignement américain James Robert Clapper.

– l’ancien procureur général des Etats-Unis, le Barbadien Eric Himpton Holder Jr., connu pour avoir vendu des armes aux cartels de la drogue mexicain.

– la députée Démocrate de Californie Maxine Moore Waters, connue pour avoir proféré de nombreuses menaces contre les électeurs Républicains et contre le Président et surtout souhaité la disparition du peuple américain s’il continuait à mal voter (30 mai 2018).

– le sénateur Démocrate de New York Cory Anthony Booker, qui sans aucune preuve avait accusé le Président d’être une marionnette russe.

– l’acteur Robert Anthony De Niro, impliqué il y a 20 ans dans un réseau de prostitution, son addiction à la drogue et surtout connu pour avoir injurié le Président Trump.

– la chaîne spécialisée dans les campagnes de fake-news anti-Trump CNN

Bref, les têtes pensantes du Deep State. Tout en condamnant le geste et félicitant le travail du FBI, le Président Donald John Trump en a donné une explication et rappelé les campagnes de haine des stipendiés de la gauche qui entretiennent ce climat de guerre civile, celle-là même voulue par Hillary Diane Clinton et Maxine Moore Waters : « Une grande partie de la colère que nous voyons aujourd’hui dans notre société est causée par le traitement intentionnellement inexact et imprécis des médias traditionnels, que j’appelle les Fake News », avait tweeté le président américain le 25 octobre, pour expliquer cet acte. « C’est devenu si mauvais et hargneux que c’est au-delà de toute description », a-t-il ajouté. « Les médias traditionnels doivent mettre de l’ordre dans leurs affaires, VITE ! »

Rappelons que le 27 octobre, un attentat, bien réel celui-là, a frappé une synagogue de Pittsburgh, tuant 11 personnes. Le terroriste, Robert Bowers, 46 ans, était connu pour son opposition à Donald Trump qu’il accusait d’être mondialiste. Rappelons également que le n°3 du Parti Républicain, le député de Louisiane Stephen « Steve » Joseph Scalise, avait été grièvement blessé le 14 juin 2017 par un sympathisant de Bernie Sanders, James Thomas Hodgkinson. Rappelons aussi les multiples attaques des milices d’extrêmes gauche, 32 ont été référencées pour le seul mois d’octobre.

La gauche s’estimant de droit divin, elle considère l’élection de Donald John Trump comme un crime de lèse-majesté. Elle refuse de reconnaître la légitimité des urnes. Comme la gauche française et la brésilienne, la gauche américaine s’est enfermée dans une tour d’ivoire. Elle voit la réalité non pas telle qu’est est, mais telle qu’elle voudrait qu’elle soit. La gauche a la maturité d’une fillette capricieuse : elle s’imagine un conte de fée dans lequel elle est princesse, quand on la contrarie dans son rêve et qu’on lui montrer la réalité, elle pique alors un gros caprice, trépigne, tape du pied et refuse de l’admettre et crie, colérique, que seule elle sait ce qui est réel, qu’elle a la vérité absolue et que ceux qui la contredisent ne sont que des porteurs de fake-news. Si Trump remporte des élections de mi-mandat, premier président à y arriver depuis longtemps, la gauche aura subi un tel revers qu’elle risque de devenir encore plus violente.

Comme le disait le journaliste d’Atlantico Jean-Sébastien Ferjou sur France24 le 27 octobre : :

« L’Establishment Démocrate a lui aussi alimenté la violence en finançant des mouvements Antifa extrêmement violents. Par nature, l’Establishment démocrate considère que Donald Trump est illégitime (…) Hillary Clinton avait parlé de “deplorables”, les électeurs de Trump étant selon elle pathétiques parce qu’ils envisageaient de voter pour un candidat populiste. Il y a de la violence de part et d’autre (…) Les sondages sont ces dernières semaines plutôt favorables aux Républicains parce que les Démocrates n’ont plus de propositions, c’est un parti qui est devenu haineux, c’est un parti qui ne sait même plus quoi dire en matière de politique économique, parce qu’il est devenu obsédé par Donald Trump. »

Hristo XIEP

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