Alors que la censure Big Tech à l’encontre du président Donald Trump se répand, le rédacteur en chef du magazine Forbes a menacé les entreprises qui engageraient des secrétaires de presse qui travaillaient pour le président.
Randall Lane, directeur du contenu et rédacteur en chef de Forbes, a publié jeudi un article intitulé «A Truth Reckoning: Pourquoi nous tenons ceux qui ont menti pour Trump pour responsables». Faisant référence à la marche de protestation au Capitole américain, Lane a déclaré qu’elle était basée sur des «mensonges».
«L’insurrection d’hier était enracinée dans le mensonge», a-t-il affirmé. «Qu’une élection juste a été volée. Qu’une défaite importante était en fait une victoire écrasante. Que la plus ancienne démocratie du monde, ingénieusement isolée par des régimes de vote étatiques autonomes, est un système truqué. De tels mensonges, répétés fréquemment et avec ferveur, fournissaient l’allumage, l’étincelle, l’essence.»
Il a attaqué Trump, affirmant qu’il était «passé du commandant en chef au menteur en chef».
Non content de cette attaque, Lane s’en est pris ensuite aux différents attachés de presse de Trump, Sean Spicer, Sarah Sanders, Stephanie Grisham et à l’actuelle secrétaire, Kayleigh McEnany .
Le rédacteur en chef de Forbes a menacé toutes les entreprises qui engageraient l’un des attachés de presse du président Trump: «Que le monde des affaires le sache : embauchez l’un des confrères fabulistes de Trump ci-dessus, et Forbes supposera que tout ce dont votre entreprise ou entreprise parle est un mensonge. Nous allons examiner, revérifier, enquêter avec le même scepticisme que nous aborderions un tweet de Trump. Vous voulez vous assurer que la plus grande marque de médias commerciaux au monde vous approche comme un entonnoir potentiel de désinformation? »
Dans des mots faisant écho à ceux qui appelaient au «Great Reset» mondialiste, le rédacteur en chef de Forbes a appelé à une réinitialisation nationale, basée sur l’expulsion de la société du personnel de Trump, en disant: «Notre réinitialisation nationale commence là».
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Abomination de l’Abomination ! Seigneur ayez pitié !
Peuple qui tue ses enfants et ses anciens…..
« …. ce n’est pas par la révolte contre ceux qui gouvernent que les nations se rendent grandes et libres, mais c’est par la conduite SAINTE des citoyens que l’on obtient l’aide du Seigneur… »
Il faut savoir prier, et puis prendre un cours du juste milieu entre l’acharnement thérapeutique d’un côté et l’euthanasie de l’autre. Le problème n’est pas nouveau, voir entre autres St Thomas d’Aquin, et on ne peut pas y alléguer la primauté de sa compétence médicale ou juridique pour trancher.
Désolé d’insister mais la formulation utilisée est claire : c’est bien le débranchement de l’enfant qui l’a tué. L’injection de sédatif dans ce type de cas sert juste à éviter la détresse de l’enfant et les souffrances liées à l’agonie (c’est donc un geste de compassion). Le terme euthanasie n’est donc pas approprié encore une fois.
Par ailleurs paix à l’âme de l’enfant que le Seigneur n’aura certainement pas manqué d’accueillir et prières pour les parents.
Ça vous ne le savez pas plus que nous. Il est fréquent que la dose de sédatif soit lourde pour ne pas laisser d’echappatoire
Lorsque les parents ne sont plus libres de reprendre leur enfant chez eux pour qu’il meure « dignement » dans leur maison, c’est que l’on vit dans une dictature.
CQFD