La Nouvelle Chevalerie propose une série de six vidéos sur la biographie de Gabriel Garcia Moreno par l'abbé Augustin Berthe. Première partie : la colonisation
Gabriel Garcia Moreno – De la colonisation de l’Amérique du Sud aux Républiques.

Puissé-je être jugé digne de verser mon sang pour la cause de l’Eglise et de la société !“.

Gabriel Garcia Moreno est généralement méconnu du grand public et même, hélas, des catholiques. Il fut pourtant le Président de la République d’Equateur et un modèle de chef d’Etat catholique. Cet homme exceptionnel parvint par un coup de force à balayer les corrompus qui s’engraissaient aux dépens du peuple équatorien, à installer un gouvernement aussi catholique que celui de Saint Louis et à tirer sa nation d’un chaos où elle expirait.

Dans le cadre de la reconquête de notre patrimoine culturel, politique et religieux, MPI vous propose aujourd’hui la première partie d’une série de six vidéos réalisées par l’Ordre des Chevaliers de Notre-Dame à partir de la biographie du Père Augustin Berthe : “Garcia Moreno : président de l’Equateur, vengeur et martyr du droit chrétien (1821-1875)“.

Pour comprendre l’apport de Gabriel Garcia Moreno, il faut d’abord avoir conscience du contexte historique et politique sud-américain.

C’est à dire de l’histoire de la colonisation en Amérique du Sud, entreprise par les Espagnols et les Portugais.

Avec les encouragements du pape, le continent se développe et se structure sous la bienveillance des Catholiques.

Petit a petit les choses changent cependant.

Le catholicisme finit par être chassé et les révolutionnaires, forts de leur succès en France et aux Etats-Unis, s’emparent du continent a travers la figure de Simon Bolivar.

Première vidéo : 

Autres pages consacrées à Gabriel Garcia Moreno :
Garcia Moreno – Le héros martyr
La prestation de serment de Garcia Moreno, Président de la République d’Equateur
Abbé Beauvais: “Qui était Garcia Moreno ?” Partie 1
Abbé Beauvais: “Qui était Garcia Moreno ?” Partie 2

Son assassinat fut commandité dans les loges maçonniques. Il l’apprit, et écrivit au pape ce mot sublime : “Puissé-je être jugé digne de verser mon sang pour la cause de l’Eglise et de la société !“.

Le 6 août 1875, il tomba sous le poignard d’un meurtrier au service de la Révolution et des forces occultes. S

Sa dernière parole fut le cri du martyr : “Dios no muere !“, Dieu ne meurt pas !

Le Congrès de l’Equateur lui donna par un décret solennel les titres glorieux de Régénérateur de la Patrie et de Martyr de la civilisation.

Paul DEROGIS

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