Être blanc et en bonne santé doit être quelque chose d’insoutenable pour la « capitaine » du bateau humanitariste Sea Watch, la trentenaire Carole Rackete, la nouvelle idole des bien-pensants et de la gauche féministe, la no-border qui défi les lois de l’État italien, avec l’appui des médias au collier, d’intellectuels bobos et de penseurs chics, tous extrémistes radicaux du politiquement correct.

Lors d’un entretien avec le quotidien de référence des bien-pensants transalpins, La Repubblica, Rackete a confessé :

« Ma vie a été facile, j’ai pu fréquenter trois universités, à 23 ans je me suis diplômée. Je suis blanche, allemande, née dans un pays riche et avec le bon passeport. Quand j’ai pris conscience de tout cela, j’ai senti l’obligation morale d’aider qui n’avait pas les mêmes opportunités que moi. »

« Des types comme Carol, explique le professeur Marco Gervasoni au quotidien italien Il Messaggero, nous en avons vus plein ces derniers mois : ils sont pour la plus part Allemands ou Hollandais, viennent de bonnes familles, ils prêchent l’idéologie no border (non aux frontières) qui est celle d’une bourgeoisie globaliste un peu en déclin, et surtout ils n’ont aucune crainte à violer les lois des différents pays. » En bons fils à papa blancs, ils trouveront toujours un Soros ou quelques mondialistes benêts pour payer leurs amendes, comme c’est déjà le cas pour la Sea Watch : les bien-pensants italiens font une collecte pour régler la facture…

En tout cas Carole Rackete a le profil de l’humanitariste chic et multi-culturaliste, qui se sent dans l’obligation morale de faire venir des migrants en Europe pour calmer son sens de la culpabilité d’être blanche et riche. De ses paroles on comprend qu’elle est enracinée dans l’idéologie totalitaire qui répudie la souveraineté des États-nations, ses lois, et qu’elle nourrit une haine profonde et radicale envers les blancs de la classe moyenne, dont elle fait elle-même partie. Dégénération idéologique, honte de soi, sentiments suicidiares particulièrement en vogue dans notre Occident décadent et bien-pensant, les autres c’est mieux ! Carole est fille de cette culture globaliste de fils à papa qui s’ennuient mais qui, contrairement à ce qu’elle croit, est fortement élitiste et provoque des tensions sociales surtout dans les milieux blancs plus défavorisés, que Carole ne connaît pas.

Quoi qu’il en soit, les ONG comme Sea Watch se démontrent habiles à atteindre les buts fixés : en tant que porteurs « d’une conscience globale » qui à l’ objectif déclaré de défier les États et leur autorité, il leur faut attirer l’attention pour faire pression sur les gouvernements. Parce que l’immigration représente une formidable arme de coercition avant d’être un immense business, le but des pirates étant de démolir les États et de satisfaire les intérêts de nouvelles entités supra-nationales peu disposées à se montrer au grand jour. Carole pour eux est la parfaite « héroïne » contemporaine de la conscience morale universelle qui dicte le Bien et le Mal, l’idiote utile des financiers mondialistes apatrides qui se cachent derrière tout ce trafic…

Francesca de Villasmundo

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