C’est tombé il y a quelques jours, là-aussi comme pour le traitement à l’ivermectine contre le covid dans une discrétion médiatique des plus coupables : le Royaume-Uni déconseille la vaccination aux femmes enceintes ou allaitantes.

La recommandation, qui donne raison aux « complotistes » et aux sceptiques sur les sérums géniques à ARNm de Pfizer, Moderna ou Astrazeneca, émane du ministère anglais de la Santé et date du 16 août.

Dans le rapport sur les vaccins Pfizer et BioNtech publié sur le site du gouvernement de Sa Majesté, au point 3.4 dédié à la Toxicologie, on lit :

« Dans le cadre des dispositions du règlement 174, il est considéré qu’il n’est pas possible à l’heure actuelle de rassurer suffisamment sur la sécurité de l’utilisation du vaccin chez les femmes enceintes : cependant, l’utilisation chez les femmes en âge de procréer pourrait être soutenue à condition que les professionnels de santé soient avisés d’exclure une grossesse connue ou suspectée avant la vaccination. Les femmes qui allaitent ne doivent pas non plus être vaccinées ». 

Ce sont des indications frappantes, surtout si l’on considère qu’elles arrivent bien après la massive campagne de vaccination qui en Angleterre a eu une couverture de 79,94% de la population avec 53 785 024 citoyens qui ont reçu la première dose. Campagne dans laquelle il n’y avait pas de contre-indications à la vaccination des femmes enceintes. 

Le rapport ne dit pas si le changement de cap est dû à des rapports d’effets indésirables sur les femmes enceintes, mais il est toujours révélateur de quelque chose qui s’est passé. Si la vaccination n’est plus recommandée, que s’est-il passé entre-temps ? Et quels pourraient être les risques ? Ce sont des questions légitimes qu’il est juste de se poser mais auxquelles le ministère de la Santé britannique ne donne pas de réponse… pour l’instant. On peut toutefois hypothéquer que les nombreux effets secondaires allant jusqu’aux fausses couches et aux morts de nourrissons et largement répertoriés sur les sites de médecins abusivement qualifiés de « complotistes » parce qu’ils remettaient en cause le bienfondé de ces inoculations toujours en phase expérimentale et mises sur le marché sans assez de recul, sont à l’origine de cette tardive contre-indication concernant les femmes enceintes et allaitantes.  

En France et en Italie, la vaccination anti-covid chez les femmes enceintes et allaitantes est encore un dogme !

Francesca de Villasmundo

   

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