Alexandra Henrion Caude, docteur en génétique, scientifique de renommée internationale, est connue du grand public pour avoir osé mettre publiquement en doute la propagande qui a poussé une majorité de la population française à se faire injecter un produit en phase expérimentale. Son courage sur les plateaux de télévision lui a valu quolibets et insultes. Tout fut bon pour essayer de la discréditer. Aujourd’hui, elle signe chez Albin Michel un livre qui met à mal tout le discours officiel de l’OMS, de Big Pharma et du gouvernement.

Tout lecteur honnête sera ébranlé par ce livre. En particulier ceux qui ont suivi les recommandations gouvernementales et ont reçu une, deux, trois ou quatre injections de ce qui leur est présenté comme un vaccin ARN messager contre le Covid.

Les faits parlent d’eux-mêmes. Est-ce que le vaccin a stoppé l’épidémie ? Non. Est-ce que le vaccin empêche d’attraper le Covid ? Non. Est-ce que le vaccin empêche d’attraper à nouveau le Covid ? Non. Est-ce que le vaccin empêche d’infecter les autres ? Non. Est-ce que le vaccin empêche de mourir du Covid ? Non.

Etrange, vous avez dit étrange ?

Comment expliquer que Moderna avait une conception de vaccin prête dans les quarante-huit heures après la publication de la séquence génomique du virus par des scientifiques chinois ? Comment expliquer que les brevets des vaccins ARNm de Moderna et de Pfizer BioNTech – qui ont coûté 75 millions de dollars à chacun des labos – aient été déposés en 2005, bien avant le Covid ?  Pourquoi la société Pfizer voulait-elle imposer un moratoire de 75 ans sur ce que le laboratoire sait des effets de son dit-vaccin ? Dans ces documents de Pfizer, finalement rendus publics grâce à un juge américain, on apprend qu’en trois mois d’essais cliniques, environ 14 morts par jour ont été enregistrés ! Avec exactement 1.233 décès et 158.893 effets indésirables enregistrés entre le 1er décembre 2020 et le 28 février 2021. Alexandra Henrion Caude souligne qu’en prenant les dix dernières années dans la base des données du VAERS (systèmes de rapport des effets secondaires des vaccins aux Etats-Unis), on note 4.800 % de décès en plus suite au vaccin anti-Covid. La base de données VigiAccess indique que les principales victimes de ces vaccins sont majoritairement des femmes et que près d’une victime sur deux est européenne. Selon une étude menée par des scientifiques de Harvard et de John-Hopkins publiée le 12 septembre 2022 dans la revue Social Science Research Network, le vaccin peut être 98 fois plus dangereux que le virus lui-même.

Tests PCR pas sans risque

Au passage, Alexandra Henrion Caude rappelle que les tests PCR ne sont pas sans danger, qu’enfoncer un coton-tige profondément dans le nez jusqu’au pharynx n’est pas une bonne idée, que cela provoque souvent des migraines, des saignements et autres désagréments, mais surtout que cela peut causer “des brèches de l’étage antérieur de la base du crâne”, selon le communiqué de l’Académie de médecine de France d’avril 2021.

L’ARN vaccinal peut-il modifier notre descendance ?

Mais ce livre s’intéresse en particulier à l’ARN messager, molécule centrale aux multiples inconnues. Si la découverte de l’ARNm date des années 1960, il faudra attendre trente ans pour que des chercheurs envisagent d’injecter de l’ARNm chez l’homme. Puis encore dix ans pour que l’on fasse les premiers essais cliniques avec cette ARNm, essais cliniques qui vont durer vingt ans de plus sans qu’aucune autorisation de mise sur le marché ne soit décernée. Une tentative de vaccin à ARNm pour soigner le cancer de la peau s’est révélée inefficace. Echecs successifs aussi de l’utilisation d’un vaccin à ARNm pour soigner le cancer du poumon, le sida, ou encore le cancer du cerveau. “Dans le cas du vaccin Covid 19, explique Alexandra Henrion Caude, l’ordre est donné de fabriquer une protéine de SARS-CoV-2, elle s’appelle Spike.” Mais cette protéine du virus n’a pas été rendue inoffensive, ce qui est inédit dans toute l’histoire des vaccins. On ignore donc toutes les conséquences que cette protéine de virus peut engendrer sur notre organisme. Avec le risque que ce type de vaccination entraîne des maladies auto-immunes, ce qui se confirme par l’analyse de la paroi musculaire du cœur d’individus vaccinés où l’on retrouve la protéine Spike ainsi que des cellules immunitaires inflammatoires. En outre, un document confidentiel de Pfizer publié par le gouvernement japonais signale que Pfizer sait depuis février 2021 que l’ARNm atteint des organes de la plus haute importance. On apprend aussi dans les documents que Pfizer voulait éviter de rendre publics que certaines mères allaitantes ont subi une paralysie partielle, n’ont plus eu de lait, ou l’ont vu décoloré. Dans une étude de septembre 2021, le laboratoire parle d’une couleur “bleu-vert” ! L’ARN vaccinal peut-il intégrer notre génome, et donc modifier notre descendance ? La réponse est oui, affirme la généticienne Henrion Caude.

Les documents que Pfizer voulait cacher au public sont accablants. Pfizer énumère 15.302 maladies comme effets secondaires ! Dont 90 maladies génétiques.

En 2021, les bénéfices de Pfizer, BioNTech et Moderna étaient estimés à 34 milliards de dollars avant impôts, ce qui représente plus de 1.000 dollars par seconde, 65.000 dollars la minute ou encore 93,5 millions de dollars par jour.

Les apprentis sorciers, Alexandra Henrion Caude, éditions Albin Michel, 158 pages, 16,90 euros

A commander en ligne sur le site de l’éditeur

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

11 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Ça y est, le numéro 1 de la tout nouvelle revue Caritas est chez l’imprimeur et en prévente sur MCP.

Nous vous l’avions annoncé dans un précédent mailing : la naissance d’une toute nouvelle revue de qualité, Caritas, la revue du pays réel, et la parution prochaine de son premier numéro de 86 pages. Bonne nouvelle, : ce numéro 1 de Caritas qui consacre son dossier à la Lutte contre la haine anticatholique vient d’être envoyé à l’imprimerie et sera bientôt dans les librairies et les boites aux lettres des abonnés.

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette nouvelle revue : la revue CARITAS !