La MGEN est la mutuelle des fonctionnaires de l’Education Nationale. La propagande est donc son métier. Pendant que ces adhérents endoctrinent les enfants, sa revue Valeurs Mutualistes, qui ne sont pas, mais alors pas du tout, des Valeurs Actuelles, fait des piqures de rappel idéologique chaque mois.

Dans son numéro d’avril, le Président du groupe Thierry Baudet, tient des propos de haine, d’exclusion et de racisme mémoriel. « Bien entendu, la MGEN, respectueuse de ses adhérents (sic !), ne diffuse pas de message partisan (re-sic !). Pour autant, notre position est connue : nous sommes inflexibles vis-à-vis des ressorts de l’extrême droite. Nous les combattons. Notre façon MGEN d’être ensemble, depuis 70 ans, conduit à toujours choisir et construire l’inclusion ».

Quand on regarde ce follicule, c’est de la propagande cryptocommuniste déversée à gros bouillons : mémoire à sens unique, imposition du conformisme politique, économique et sociétale… Rien d’étonnant quand on sait l’emprise que le marxisme impose à l’Education-sic Nationale-resic…

Mais ce numéro est révélateur du racisme mémoriel de la gauche et de la vraie raison de l’hystérie antinazie en vogue depuis les années soixante. La MGEN n’est pas gênée par l’extrême gauche. Le goulag, la torture, Staline, Mao, Pol Pot, les génocides nombreux et massifs (Ukrainiens, Baltes, Polonais, Tchétchènes, Allemands de la Volga, Cambodgiens, Hmogs, Miskitos…). Mélenchon peut discourir derrière le drapeau de l’URSS sans que cela ne dérange qui que soit. Imaginez une seconde les réactions si Marine Le Pen intervenait derrière le drapeau du troisième empire allemand…

Les nazis ont ouvert des camps, l’URSS aussi. Les nazis sont accusés de génocide, l’URSS aussi. Les nazis ont déporté, l’URSS aussi. Les nazis s’en sont pris méthodiquement aux membres d’une religion, l’URSS aussi. Les nazis ont torturés, l’URSS aussi. Donc, si l’extrême droite (même si l’appartenance du nazisme à l’extrême droite est sujette à caution) et l’extrême gauche ont eu recours aux même méthodes,  en quoi l’une gêne la MGEN (et pas qu’elle) et non l’autre ? Il n’y a qu’une réponse possible : le point d’achoppement est l’identité des victimes. Si, au lieu de s’en prendre aux Juifs, les nazis s’en seraient pris aux catholiques, Hitler serait considéré au mieux comme Robespierre, au pire comme Staline. En tout cas, le parti nazi serait encore légal et serait même au pouvoir encore en Allemagne car jamais les Américains ne seraient intervenus contre lui.

La MGEN, comme tous les antinazis primaires, sont donc coupable de racisme victimaire. Ce n’ai pas tant par l’exaltation de victimes « supérieures » (quoi que) mais surtout le rabaissement de victimes « inférieures », en priorité les catholiques. C’est pour cela qu’un vrai catholique, c’est quelqu’un qui refuse de voter pour un parti pratiquant le racisme mémoriel. Seul un parti qui fera reconnaître le génocide vendéen, l’Holodomor, les crimes antichrétiens en Espagne, au Mexique, au Biafra, au Vietnam comme crimes contre l’Humanité mérite d’être soutenu par les catholiques.

Les négationnistes de ces génocides doivent recevoir la médiatisation qu’ils méritent… « Qui contrôle le passé, contrôle le présent ; qui contrôle le présent, contrôle l’avenir » (George Orwell, 1984).

Hristo XIEP

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