Le drame s’est déroulé, comme par hasard, dans le fief de l’islam français qu’est Roubaix.  Selon le journal d’extrême gauche La Voix du Nord, le jardin Eco-pédagogique Chlorophylle de Roubaix a reçu la visite d’un maniaque de la décapitation, préparant probablement ses prochaines vacances en Syrie, en Irak ou ailleurs.

Le massacre a été découvert lundi matin par les membres du jardin pédagogique. Au total 3 oies, 1 dindon, 2 coqs et 4 poules ont été retrouvés décapités. Détail macabre, seules les têtes avaient été laissées sur place. Les cadavres des animaux avaient été emportés. Si le parc se faisait régulièrement dérober des animaux, c’est la première fois qu’ils sont massacrés de la sorte. Le ou les tueurs ont profité du week-end, période pendant laquelle les bénévoles ne sont pas sur place, pour s’introduire sur les lieux et tuer les animaux.

Les auteurs des faits ont été pris en chasse par les policiers roubaisiens. Ces derniers ont en effet engagé une course-poursuite avec un véhicule avec trois personnes à son bord roulant à vive allure dans les rues de Roubaix. Le chauffeur a tenté de semer les policiers avant de perdre le contrôle de son véhicule sur l’autoroute A22, à hauteur de Villeneuve-d’Ascq. En contrôlant le véhicule, les fonctionnaires ont retrouvé les corps des animaux volés plus tôt au jardin Chlorophylle. L’un des occupants du véhicule a été interpellé et placé en garde à vue. En 2015, les locaux du jardin pédagogique avaient été cambriolés cinq fois en six mois.

Ce n’est pas la première fois qu’une ferme pédagogique est victime de vandalisme de cette nature. Il est symptomatique de constater que, à chaque fois, celle-ci était située dans une zone hautement islamisée :

– 21 janvier 2015, nouveau cambriolage de la ferme éducative de Vertaizon, située près de la ville-dortoir de Cournon, trois oies, trois canards et trois chèvres Toy ont été volés. Le quad de la propriétaire l’avait été précédemment. Elle fut également menacée de mort.

– 16 avril 2016, Ebène, l’âne de la ferme pédagogique de Chassigny, située près de la ville cosmopolite de Givors, est tué par des « jeunes » ? Etait-ce les mêmes que ceux qui avaient passé à tabac le propriétaire le 18 avril 2016, parce qu’il leur avait demandé de faire moins de bruit et qui lui ont de ce fait perforé un tympan ?

– 29 janvier 2017, saccage de la ferme pédagogique du Parc du Papillon de la Prée à Claye-Souilly, à une portée de tir des sinistres cités de Seine-Saint-Denis. Sur la quarantaine de volailles présentes, les trois-quarts ont été massacrés par des chiens.

– 23 avril 2017, aux Mureaux, une dizaines de « jeunes » ont lâché leur pitbull dans la ferme pédagogique de l’école maternelle de la rue Albert-Thomas. Le molosse avait attaqué la canne, une poule et ils s’en sont pris à la dinde. Ils ont rattaché le chien et l’excitaient avec la dinde qu’ils tenaient devant lui. Le chien lui a sauté de dessus à plusieurs reprises.

Hristo XIEP

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