« Si tu es le Fils de Dieu, dis que ces pierres deviennent des pains. » 

Version écrite du sermon : 

Au Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, ainsi soit-il.

Bien chers frères, en ce début de Carême, l’Église nous montre Notre-Seigneur face à la tentation. Et nous avons eu aussi le rappel au début de la Septuagésime de la tentation d’Adam et Ève. Cela pour nous montrer que nous entrons dans un temps de combat, de combat spirituel auquel l’Église veut nous préparer et pendant lequel elle veut que nous combattions vraiment. Et pour cela, il faut que nous sachions qui est notre ennemi et, pour savoir comment nous battre, regarder comment il a fait tomber tout spécialement notre mère Ève, dans le paradis terrestre, car il s’y prend un peu toujours de la même manière et il est bon pour nous de méditer sur ce passage plein d’enseignements du début de l’Écriture sainte.

1 – Déroulement de la tentation d’Eve

Nous voyons donc Ève qui est parfaite et qui, avec Adam, a reçu la perfection de son intelligence et qui ne peut pas se tromper. Selon ce que le bon Dieu leur a donné, ils avaient ce qu’on appelle l’intégrité, la pleine maîtrise d’eux-mêmes et leur intelligence ne pouvait pas se tromper sur ce qu’ils voyaient, sur ce qu’ils entendaient. Alors ce serpent qui s’approche, cet animal qui lui parle, certainement – si elle avait reçu l’enseignement, dans la mesure où elle avait reçu l’enseignement d’Adam, on ne le sait pas exactement – elle  ne pouvait pas être trompée sur le fait que cet animal qui parle, c’était quelque chose qui sortait de l’ordinaire. Donc elle avait les armes pour se défendre. Elle avait l’intelligence pour comprendre ce qui se passait.

Et voilà que cet animal lui parle. Et il commence par lui poser une question. Une question bizarre, un petit peu obscure : Est-il vrai que le bon Dieu vous a interdit de manger de tout arbre de ce jardin ? Ou selon les versions : est-il vrai que le bon Dieu ne vous a pas permis de manger de tous les arbres du jardin ? Et elle répond : Non, le bon Dieu nous a permis de manger de tous les arbres du jardin, mais il y en a un que nous ne pouvons pas ni manger, ni même toucher, ajoute-t-elle par rapport au précepte que le bon Dieu donnait directement à Adam – c’est peut-être une interprétation authentique de la loi, qu’ils ne pouvaient même pas toucher – en tout cas ce qu’elle dit, certainement, nous disent les Exégètes, était vrai. Ève dit la vérité, elle répond au serpent ce qu’elle devait répondre. Et comme il ne peut pas s’attaquer à son intelligence, il va chercher le moyen de contourner l’obstacle en la faisant désirer quelque chose qui semble bon, mais qui est mauvais.

C’est seulement comme ça qu’il pouvait faire tomber Adam et Ève, comme ça lui même qu’il est tombé du ciel. Alors que les dons de l’intelligence étaient parfaits, c’est la volonté, c’est l’affection qui peut aveugler par une attention portée vers quelque chose de mal, de séduisant, qui peut aveugler cette intelligence qui normalement devait être infaillible, qui était infaillible, mais qui a été comme annihilée, comme obscurcie par cet acte de volonté mauvais.

Donc Ève lui répond, elle lui dit : Non, non, et si nous touchons, si nous mangeons, (en latin : forte), nous risquons de mourir. Certains auteurs ont dit : Là, Ève, elle a manqué de courage. Elle a dit : peut-être que nous mourrons, elle a un peu douté. Non, ça ne veut certainement pas dire ça, parce qu’elle était encore dans son intégrité. Elle a dit : Dans l’occasion, le cas échéant, si nous en mangeons, nous mourrons.

Et le démon : Mais non, mais non, le bon Dieu est bien trop bon, vous ne mourrez pas, mais il sait que vos yeux s’ouvriront, vous serez comme des dieux et vous connaîtrez le bien et le mal. En fait, c’est là que le démon attaque. Le démon a commencé à susciter la curiosité. Il est vrai qu’Ève a parlé, mais elle a parlé en disant la vérité et ensuite le démon, là il ment. Il utilise son arme préférée, le mensonge, la tromperie. Et il va donc essayer de détourner son attention, en diminuant la gravité du précepte et de la punition – en  l’occurrence, ici, la mort – et  en lui faisant voir qu’en fait, ce fruit, elle a tout intérêt à le manger. Vous serez comme des dieux.

2 – Nature du péché de nos premiers parents

Alors on peut se demander avec les théologiens, quel est le péché qu’a commis vraiment Ève, quel est son premier péché ? Est-ce que c’est d’avoir parlé avec le démon ? La plupart des auteurs disent que non, ça ne peut pas être ça, d’avoir juste parlé. Parce que, de Notre-Seigneur, on dit : L’Esprit le porta dans le désert pour être tenté. Le fait d’être tenté, d’être sollicité par le démon n’est pas forcément volontaire. Certainement le bon Dieu l’a permis, c’était le jour de l’épreuve. Ça n’est pas là qu’elle a été fautive, elle a répondu ce qu’elle devait répondre en soi.

Mais alors, serait-ce sa réponse qui était justement trop édulcorée ? Et là aussi, les auteurs pensent que ça n’est pas plausible. Elle n’a pas transformé, elle n’a pas ajouté au précepte. Elle ne devait ni toucher ni manger de cet arbre.

Et donc la plupart des Théologiens nous disent que le péché d’Ève a été avant tout, premièrement, un péché de superbe, un péché d’orgueil, qui vient de notre désir naturel dont Saint Augustin dit qu’il est tellement fort que, pour tout homme, il est le motif de quasiment toute action : c’est le désir de l’excellence. Nous avons un désir de perfection qui correspond au désir de bonheur. Et tout le monde recherche en fait l’excellence d’une certaine manière, même celui qui est pécheur, il veut en tout cas chercher à se montrer du plus beau jour, même si malheureusement, ça n’est pas le cas. Et c’est parce que le bon Dieu, justement, a mis en nous un appétit naturel de connaître – chez  tout homme, il y a un appétit naturel de connaître le vrai, le bien, le beau – et Satan a utilisé ce désir. Puisque c’étaient des êtres parfaits, Adam et Ève ne tendaient que vers la perfection, mais ils devaient y tendre dans l’humilité selon ce que le bon Dieu avait prévu. Et il leur promet faussement une science qu’ils n’avaient pas encore, finalement, une science du bien et du mal, c’est-à-dire cette capacité de se diriger soi-même dans la vie, dans toutes les décisions, cette indépendance vis-à-vis de Dieu, être comme des dieux, c’est cela qui leur proposait. Une indépendance qui en fait était mauvaise.

Donc c’est là, que Ève a péché. Elle a désiré cette élévation dans la science, dans une science plus parfaite qu’elle avait et qui était réservée peut-être pour plus tard, en tout cas, ils avaient tout ce dont ils avaient besoin dans le présent pour se diriger. Il n’y avait pas besoin de désirer plus que ce qu’ils avaient, surtout indépendamment de Dieu.

Alors dans la suite – cet acte est un, mais on est obligé de le décomposer – cet orgueil a été accompagné d’un acte de concupiscence. Quand elle a eu ce désir de pouvoir être élevée comme ça par elle-même, elle a considéré le fruit. Elle l’a regardé, la Bible nous dit : Elle a vu qu’il était agréable à voir, à manger, elle a été attirée ; et donc là Satan a réussi, vous voyez, il a détourné son attention sur le fruit défendu en le présentant comme un bien et donc, disent les Auteurs, il y a eu aussi un acte d’impatience vis-à-vis du précepte, d’incompréhension quelque part, d’aveuglement sur la raison du précepte et sur le fait qu’un fruit si désirable, qui peut nous donner une si grande connaissance : pourquoi est-ce qu’on nous interdit de le manger ? Maintenant le voilà, vous n’allez pas mourir, le Bon Dieu sait très bien que c’est bon pour vous, vous allez avoir une connaissance plus grande, certainement le bon Dieu ne vous punira pas de ça ! Et donc elle va s’impatienter du précepte quelque part et, par concupiscence aussi, le prendre et le manger. Et non seulement le prendre et le manger, mais le donner à Adam son époux, et le faire tomber avec nous tous dans la déchéance. Et les Auteurs nous disent que Adam, certes, a pris le péché de son épouse, mais lui, comme il avait été instruit directement de Dieu, son péché était plus grave encore, il était le chef de toute la race humaine. Il avait reçu une science infuse spéciale, donc son péché est, au moins vis-à-vis des circonstances, plus grave que celui de Ève.

Et les Auteurs vont jusqu’à nous dire en troisième lieu qu’avec cette superbe, cette concupiscence et cette impatience vis-à-vis du précepte, ce mépris finalement de la parole de Dieu, ils ont perdu la foi. Ils ont perdu la foi, la foi surnaturelle. Certainement, parce que, bien sûr ils avaient une connaissance plus forte que nous de l’existence de Dieu, de cette présence de Dieu, certainement qu’ils l’avaient expérimentée ; mais il ne suffit pas, pour avoir la foi, de savoir que Dieu existe. Il ne suffit pas d’avoir certains raisonnements, certaines vérités sur Dieu. Il faut avoir une foi intègre et croire que Dieu est notre bienfaiteur, croire que sa parole est infaillible. Et eux qui avaient été instruits de la parole de Dieu, eh bien, ils ont douté. En doutant de ce précepte, en doutant de la bonté de Dieu, en préférant cette promesse du démon, fausse, ils ont même probablement perdu la foi surnaturelle en perdant la grâce.

3 – Leçons à tirer pour notre sanctification

Voilà, bien chers frères, ce triste péché qui est le péché parfait, le péché le plus grave, dont nous devons nous souvenir pour nous battre nous-mêmes, parce que le démon va utiliser les mêmes armes contre nous. Et Premièrement, il va nous tenter. On voit que pour Ève et Adam, qui étaient parfaits, il cherche le faible ; vous voyez, c’est le serpent, il contourne l’obstacle, il cherche où est notre faible.

Donc la première chose, c’est de connaître notre faible ; dans ce Carême, de nous poser la question : Où est-ce que souvent le démon m’attaque ? Et, bien souvent, c’est du côté du concupiscible, ça commence par le plus facile pour lui et ce qui est le plus faible en nous, surtout depuis la Chute. Vous voyez, même pour Notre-Seigneur il commence par là et, bien sûr, il met les deux en même temps, il va chercher à l’élever à l’orgueil : « Si tu es le fils de Dieu » ; et comme il sait qu’il est affamé : « Dis que ces pierres deviennent du pain », il commence par là où l’homme est le plus faible.

Donc chercher à mieux  nous connaître et aussi, écouter ce que les autres nous disent de nos défauts. Accepter les critiques, les remarques qui nous sont faites, chercher de ce côté-là pour pratiquer ce que l’Église nous dit – notamment  contre cette première faiblesse – le  jeûne. Il n’y a pas trente-six questions à se poser dans le Carême. Comment réussir un bon Carême ? Que faire pendant mon carême ? La première chose, c’est le jeune. Et l’Église appelle le Carême, le temps du jeûne solennel, un jeûne solennel. Ça veut dire qu’il faut faire un effort dans notre nourriture. Qui que nous soyons, même les enfants. Il faut leur apprendre à faire un effort sur cette partie de la concupiscence pour mettre une barrière. Et ça nous obtiendra aussi des grâces – tout  cela est fait par la grâce bien sûr – il ne faut pas le faire juste pour perdre des kilos. Non, on le fait pour l’amour de Dieu, pour que, au moment du combat, on ait des grâces, qu’on ait aussi l’habitude de se battre ; qu’on ait fermé les portes à l’entrée de ce serpent.

Donc première chose : le jeûne, et ce jeûne, en même temps, en faisant attention à notre faible. Et puis, dans un deuxième temps, on voit que Ève a été excitée au mépris du précepte. « Mais non, vous n’allez pas mourir. Mais non, vous n’irez pas en enfer, tout le monde ira au Paradis. Mais non, pécher ce n’est pas grave, on peut aller se confesser. » Eh bien, dire des choses comme cela, c’est le serpent qui susurre ces paroles. On ne sait pas, d’abord, quand le bon Dieu viendra nous chercher ; et le bon Dieu a dit : Je viendrai comme un voleur ; et il viendra comme un voleur. Les Auteurs nous disent : Il est bien plus vrai de retenir cette parole que, pour tous et chacun, l’heure de la mort est bien plus près que tous et chacun ne le pensent. Parce que ceux qui sont morts dans notre entourage, peut-être et certainement ne pensaient pas mourir cette année. Ils pensaient finir l’année. Et le démon dit : Mais non tu auras encore du temps pour repousser.

Eh bien non, retenons, pensons aussi à nos fins dernières. Pensons à la force des préceptes, aux convictions que nous donne l’Église, au respect que nous devons avoir pour les lois de la morale, les lois de l’Église, l’obéissance à nos supérieurs, à nos parents, à tous ceux qui ont une certaine autorité, à la parole des prêtres, aux conseils qui nous sont donnés en direction, en confession. Bien honorer Notre-Seigneur, justement, en en lui montrant que, nous croyons en son amour pour nous quand il nous donne des préceptes. Si Ève avait pensé à ça – que celui qui lui a donné ce commandement, c’est le bon Dieu qui est tout-puissant, mais qui l’aime – peut-être qu’elle aurait méprisé plus facilement cette séduction.

Et enfin – avec l’outil du jeûne, et ce souci de respecter la religion, de respecter les commandements – ayons à cœur aussi de nous protéger du point de vue de l’intelligence. Le jeûne va protéger notre partie concupiscible. La loi est là pour surtout protéger notre volonté, donner une direction à nos actes, concrètement ; et donc il conviendra peut-être aussi se poser des questions sur ce que nous devons corriger dans nos actes, par rapport à la loi de Dieu. Et enfin, protéger notre intelligence, parce que le démon veut aller jusque-là. C’est le but ultime du démon que de corrompre notre intelligence. C’est pour ça qu’il nous fait tourner vers les vices, qu’il fait se tourner l’humanité vers le vice, c’est pour la plonger aussi ensuite dans l’erreur intellectuelle qui, finalement, coupe tout, coupe tous les liens avec le bon Dieu.

Si l’on a perdu la foi dans notre intelligence, c’est alors que le démon a eu sa victoire totale. C’est là que le démon arrache le plus facilement les âmes et empêche surtout leur retour vers le Bon Dieu. Donc ayons soin, dans ce carême, de nous instruire. De savoir prendre des résolutions, par exemple par rapport aux écrans, au moins le soir, plus tôt que d’habitude : couper nos appareils et prendre le temps qu’on aurait passé devant à lire, soit des vies de saints, si on n’a pas trop l’habitude des lectures ; et si on est déjà un peu habitué lire : des choses substantielles sur la doctrine de l’Église. Pour nous défendre de toutes les erreurs du monde, qui veulent relativiser vis à vis des principes. Nous avons eu un sermon du père du Père Paul-Marie sur la modestie, par exemple : se convaincre des principes qui fondent cette modestie que nous devons avoir. Il y a beaucoup de domaines où nous avons envie, un petit peu, de prendre le large, d’en prendre et d’en laisser. Reprenons la doctrine, formons-nous pour pouvoir former les autres dans ce combat de la foi. Car c’est finalement l’objectif ultime de Satan que de nous faire tomber dans ce domaine-là.

4 – Conclusion

Demandons la grâce à Notre-Seigneur, Lui-même, qui a voulu subir la tentation pour nous obtenir des victoires, d’accepter déjà notre faiblesse, accepter notre dépendance. Il y a eu ce péché d’indépendance : acceptons de devoir, dans ce temps de carême, prendre des moyens qui nous humilient. Le jeûne, la prière. Et faisons un effort sur le temps que nous consacrons au bon Dieu, aux choses du bon Dieu. Notamment l’oraison. Nous parlons du jeûne et de la prière : la prière c’est surtout un temps d’oraison, en fait. Ça peut être avec le chapelet, en même temps que le chapelet si on se promène… mais il faut avoir un temps où on pense dans le silence à ce que le Bon Dieu veut de nous, où l’on s’applique à soi-même les paroles qu’on entend, les paroles qu’on lit dans l’Évangile, quand Notre-Seigneur nous dit : Sans moi, vous ne pouvez rien faire ; faites pénitence, sinon vous périrez tous. Quand tu auras fait tout ton devoir, dis : je suis un serviteur inutile.

Si l’on n’arrive pas à s’appliquer à soi-même les paroles de l’Évangile, jamais on ne pourra arriver à détruire en nous les illusions par lesquelles le démon ment dans notre âme, par lesquelles le démon nous porte à toutes sortes de péchés, et dont nous ne nous rendons pas compte, peut-être, et qui nous empêchent d’écouter aussi le discours des autres.

Je prends un exemple : Mon épouse, ou mon mari, me dit que je conduis trop vite. Et alors : c’est rien ! ça n’a l’air de rien. Je conduis trop vite et je lui fais peur, elle est complètement effrayée à chaque fois. Bon, et puis… Moi, j’en ai pris mon parti. Je conduis comme je conduis, on ne fait pas de remarque. Ce sont des petites choses comme ça, dans les familles, qui peuvent créer des tensions, qui peuvent créer des inimitiés et des irritations par lesquelles le démon va rentrer. Donc essayons de voir ce qui, chez les autres, les blesse… ce qu’on nous dit souvent. Et c’est dans l’oraison que l’on pourra, en prenant le temps devant le bon Dieu, accepter humblement de s’appliquer à soi-même toutes les bonnes paroles qui nous sont dites, à commencer par la parole de Dieu.

Demandons la grâce enfin à Saint Paul, spécialement Saint Paul, ce grand combattant que nous entendions encore dans l’épître d’aujourd’hui, qui nous dit : Mes frères, que la grâce de Dieu ne nous soit pas donnée en vain. Pour que cette grâce ne soit pas donnée en vain, employons toutes les armes dont il nous parle dans cette épître d’aujourd’hui, à savoir : le jeûne, la prière, la science dont nous avons besoin, la parole de vérité. Et au jour de Pâques, que nous puissions être heureux d’avoir fait un bon carême et de pouvoir réellement dire comme Saint Paul, que cette grâce n’a pas été reçue en vain.

Au Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.

Fr Marie-Bonaventure +, ofm

Morgon, dimanche 18 février 2024, Premier dimanche de Carême

Version audio du sermon : 

Antoine de Fleurance

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