MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Un tribunal du Québec reconnaît les « trouples »

Effondrement civilisationnel

Il ne se passe pratiquement pas un mois au Canada sans qu’une nouvelle décision de justice ne mette en lumière notre effondrement civilisationnel en cours depuis des décennies.

La semaine dernière, la cour d’appel de l’Ontario rendait une décision qui force le contribuable canadien de payer les frais chirurgicaux pour qu’un homme s’identifiant comme trans possède à la fois des organes génitaux masculins et féminins.

Cette semaine, la télévision canadienne annonce que « Les familles multiparentales, comme les « trouples », se verront accorder des droits légaux au Québec » Un « trouple », pour ceux qui l’ignorent encore, est un trio sexuel. Les personnes qui composent ces trios réclament depuis un certain temps une reconnaissance légale.

« Familles multiparentales »

La décision a été rendue par un juge de la Cour supérieure du Québec, qui a déclaré que les « familles multiparentales » devraient bénéficier des mêmes droits que « toute autre unité ». Par « unité », la Cour désigne la famille naturelle – un père, une mère et leurs enfants. Cependant, comme certains adultes recherchent d’autres arrangements sexuels, ces termes ont été progressivement détachés de leur définition biologique et ont désormais le sens que les militants et les tribunaux canadiens leur attribuent.

En effet, le juge est allé jusqu’à déclarer que « limiter la filiation légale des enfants à un ou deux parents est inconstitutionnel ». CTV a noté que Marc-André Landry, avocat de l’une des trois familles impliquées dans l’affaire, a déclaré que cette décision ne s’appliquerait pas aux beaux-parents ni aux « familles modernes » qui se forment après la naissance de l’enfant, mais plutôt à « une situation où une famille compte plusieurs adultes impliqués dans une relation avant la conception de l’enfant ».

Le tribunal traitait trois cas : un « trio » composé d’un homme et de deux femmes qui avaient « quatre enfants parmi eux » ; un couple de lesbiennes qui avait conçu un enfant avec l’aide d’un donneur de sperme masculin qui voulait être une « figure paternelle » ; et « une femme stérile qui a permis à son mari d’avoir un enfant avec une amie, qui a demandé à rester en tant que mère ».

On ne sait pas ce que signifie « rester » dans ce troisième cas, mais cette affaire judiciaire est un microcosme parfait de ce qui se produit lorsque notre société s’éloigne de toute norme de moralité objective et rejette la famille naturelle.

Maître Landry a déclaré que cette décision constituait essentiellement une nouvelle victoire pour les droits LGBT. « La loi a évolué, et les familles homosexuelles existent bel et bien, elles sont acceptées, et ce n’est plus un problème au Canada », a-t-il déclaré. « C’est la même chose ici. La loi doit évoluer pour correspondre à la réalité de tous les citoyens canadiens et des bébés qui n’ont pas choisi de naître dans une famille multiparentale. Ils doivent bénéficier de la même protection et des mêmes droits que tous les autres bébés aux termes de la loi. »

 

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Mots clefs
S’abonner
Notifier de
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

0 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Le numéro 2 de la revue Caritas est en vente sur MCP !

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette revue : la revue CARITAS !