Thierry Carreyn avait participé à un rassemblement « Je suis Charlie » à Mouscron, dans le Hainaut belge. Il y avait même donné une interview pour une télévision régionale.
Dimanche dernier, la « marche républicaine » lui est tellement montée au cerveau qu’il a… menacé la rédaction du quotidien belge Le Soir d’un attentat à la bombe. Et en donnant son nom !
Thierry Carreyn a téléphoné à la rédaction du Soir et de Sudpresse située rue Royale à Bruxelles. Se réclamant de l’extrême gauche, il a accusé Le Soir de soutenir l’extrême droite et de tenir des propos diffamatoires à l’encontre des Maghrébins. Il a menacé de faire sauter le bâtiment.
Thierry Carreyn, 52 ans, n’est pas un inconnu. Ce militant antifa, authentique terroriste, avait fait sauter une bombe devant le siège du Vlaams Belang à Bruxelles en 1999. Un vrai attentat dans ce cas-ci, qui aurait pu faire des morts car la bombe avait sauté place Madou à proximité d’un arrêt de bus et d’une sortie de métro. Mais le 16 mars 2004, Thierry « Zébulon » Carreyn avait obtenu une suspension probatoire de sa condamnation pour un délai de 5 ans.
Sur Facebook, le 9 février 2014, Thierry Zébulon Carreyn apparaît dans une discussion sur la façon de hacker les comptes personnels d’un utilisateur Facebook. Avec là encore de bonnes intentions, très certainement.
Il comparaîtra le 6 février prochain devant le tribunal correctionnel francophone de Bruxelles, a annoncé le parquet du procureur du Roi de Bruxelles.
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Ce résultat tombe à pic pour nos Évêques d’île de France qui participent à la Veillée pour la Vie ce soir à Notre Dame de Paris et ce pour OEUVRER toujours plus en faveur de la Vie humaine !
par essence la démocratie qui dresse les parties du peuple les unes contre les autres ne peut atteindre que le totalitarisme. Ce qui était vrai à Athènes au IV ème siècle avant JC est toujours vrai
Ce que l’on obtient pas par la tromperie, on l’obtient par la force, une autre essence de la démocratie.
une cynique mise en scène pour camoufler le scénario programmé de la marche funèbre.
Le combat ne fait que commencer, même si « il ne manque pas un bouton de guêtre » .