Le metteur en scène, Romeo Castellucci, aime décidément les mises en scène scatologiques et blasphématoires. C’est la religion catholique qu’il a en haine ! Après son scandaleux Sur le concept du visage du Fils de Dieu, Castellucci récidivait en France en 2017 avec un Jeanne au bûcher tout aussi dément et scatophile, agrémenté d’idéologie transsexuelle, présenté à l’Opéra de Lyon. MPI, à l’époque, s’était insurgé contre cette nouvelle attaque contre le catholicisme et ses saints à travers un entretien avec Alain Escada, président de Civitas : 

« [Castellucci] revisite à sa façon perverse le Jeanne au bûcher de Claudel et Honneger.

Castellucci ne cache pas son intention : “s’insurger contre les symboles, contre l’hagiographie, contre la commémoration nostalgique de l’histoire et contre la célébration de l’héroïne céleste” et “Oublier tout ce que l’on connaît à propos de Jeanne”.

Romeo Castellucci se vautre une fois de plus dans une provocation ignoble.

Afin de ne pas être accusé d’interpréter erronément ce spectacle, je vous laisse lire ce que le journal Le Monde, peu suspect d’appartenir à la réacosphère catholique, écrivait le 26 janvier 2017 à propos du “choc émotionnel” causé par la comédienne incarnant Jeanne d’Arc : “Quelle actrice peut à ce point se vêtir de sa nudité ? Fille maudite et sorcière caracolant un balai entre les jambes, frêle jeune fille portant l’immense épée plus brûlante que la croix, cavalière enfin, couchée sur le côté, la jambe mimant sur le cadavre d’un cheval blanc le galop éperdu d’une course convulsive.

Mais l’imagination perverse de Castellucci ne s’arrête pas là. Dans ce spectacle, la comédienne qui incarne une Jeanne d’Arc dénudée le plus clair de son temps est initialement… un homme qui va “changer de sexe”. “Il s’agit de faire table rase de toutes les données de l’Histoire pour retrouver enfin le corps d’une jeune femme. Et pour moi, il fallait passer à travers le corps d’un homme.”, raconte Castellucci.”

Pour la saison automnale 2019, du 5 au 11 novembre prochains, le théâtre de la Monnaie à Bruxelles s’enorgueillit de proposer cette ignoble pièce de théâtre au public.

Que les catholiques belges et européens s’invitent donc devant le Théâtre de la Monnaie pour faire entendre leur indignation. Et prient en réparation pour cet énièmme blasphème de Castellucci !

Francesca de Villasmundo


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