mais aussi du Sud, puisque le gouvernement espagnol va restreindre l’avortement – pratiquement en vente libre depuis Zappatero – par une loi qui fait hurler de douleur les groupies féministes en France du président Hollande.

Il faut dire qu’après 30 ans d’anti-franquisme béat et 10 ans de “zappatérisme”, l’Espagne est mal partie avec un taux de fécondité de 1,36 enfant par femme. (Il faut 2,1 enfant/femme pour simplement renouveler les générations)

            Le taux de fécondité le plus bas en Europe est détenu par le Hongrie : 1,23 enfant/femme. La France, pilulée à outrance depuis deux générations, avec en plus l’avortement à la demande, se prépare des lendemains qui déchantent et qui ne seront pas améliorés par l’euthanasie “compassionnelle” des vieux et des malades, que nous prépare Hollande et ses sicaires.

            Avec un taux de fécondité de 2,1 la France peut sembler faire bonne figure car elle caracole en tête de la fécondité de toute l’union européenne, mais ce chiffre ne doit pas faire oublier :

–  que depuis 2001 (loi Aubry) l’avortement en France est un droit, et un droit de la femme.

– que ce taux de 1,86 – de toute façon insuffisant pour renouveler les générations – est le résultat de la poussée massive de l’immigration extra-européenne, y compris clandestine, jamais comptabilisée à part, qui ne fera jamais de vrais Français.

            C’est de Russie que nous viennent les bonnes nouvelles. Alors que depuis 1991 la Russie avait perdu 5 millions d’habitants, l’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine en 2000  a inversé le déclin démographique grâce à une politique familiale énergique – sans pour autant interdire l’avortement – d’allocations diverses en faveur de la natalité, de logement, de scolarité et d’améliorations sanitaires.

Depuis la Russie n’a cessé de poursuivre son accroissement démographique :

            – depuis 2009 le nombre des naissances est supérieur à celui des décès.

            – le taux de fécondité qui était de 1,4 (enfant/femme) en 2007, est passé à 1,7 en 2012 et  1,75 en 2013.

            – le nombre des décès :  2,5 millions en 2000, est passé à 1,8 millions en 2013.

 

            Ces résultats apportent la preuve que le déclin démographique n’est pas inéluctable :

1) qu’une volonté politique nataliste est possible et donne des résultats, sans la moindre coercition.

2) que le redressement démographique est beaucoup plus rapide qu’on ne le pense.

            La politique mondialiste de remplacement de populations, imposée par l’Union Européenne, est la pire des solutions.

                                                                                                            Luc Perrel     

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