Une ordonnance de la justice baléare en date du 28 juillet donne dix jours à l’état espagnol pour communiquer ses contrats passés avec les fournisseurs de vaccins. La nouvelle, qui a fait grand bruit en Espagne, est quasiment passée inaperçue à l’extérieur.

La justice baléare a agi à la demande d’une association connue sous le nom de Asociacion Liberum qui ne cesse de dénoncer vigoureusement le fait que les contrats signés avec les labos soient tenus secrets. A en croire le média UltimaHora.es, l’association a obtenu le soutien de 549 habitants de l’île dans le bras de fer juridique qui l’oppose à l’Etat central. L’information a été confirmée par le média espagnol DiariodeMallorca.es.

En attendant la suite de cette affaire, l’association Liberum se réjouit déjà dans un communiqué publié ce 29 juillet sur son site internet. Dans celui-ci, l’association nous apprend que le tribunal a fixé un délai de 10 jours au ministère espagnol de la Santé pour qu’il lui fournisse toutes les informations concernant les contrats signés entre l’Etat espagnol et les fabricants de vaccin“.

Il semble que depuis, l’état espagnol n’a pas jugé utile de se conformer à cette ordonnance. En revanche l’agence sanitaire espagnole estime que la pandémie n’est pas terminée et a lancé ce 1er août un marché public pour la fourniture de 5.7 millions de vaccins Pfizer et 500.000 vaccins Sanofi.

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