Dans l’enquête annuelle que le service des ressources humaines de la banque d’investissement JP Morgan Chase réalise pour ses 260.965 employés, après les questions classiques sur l’environnement au travail, l’identification avec la société et les points à améliorer, on leur demande s’ils sont membres de la communauté LGBT et le cas échéant s’ils en sont alliés. Les employés pro-famille craignent des représailles.

Les employés estiment que la question est une intrusion dans leur vie privée tout à fait inacceptable. En outre, ils craignent des représailles pour les travailleurs qui ont répondu négativement à la question de savoir s’ils considèrent le mariage homosexuel à l’égal de celui entre un homme et une femme.
Le Washington Times a rencontré un des employés de JP Morgan Chase qui fait ce récit: « L’enquêteur doit mettre ton numéro d’employé. Comme vont les choses et comme les revendications LGBT sont présentées à l’égal des droits civiques des années 50, ne pas répondre au questionnaire, c’est comme dire que vous n’êtes pas favorable aux droits civiques. Le problème de beaucoup d’entre nous, c’est que ceux qui ont répondu négativement craignent d’être catalogué dans le dossier «A rejeter en premier.« 

Les responsables de JP Morgan Chase n’ont pas voulu répondre au Washington Times à ce sujet.

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