
La définition légale d’une femme
repose uniquement sur le sexe biologique.
La définition légale d’une femme repose sur le sexe biologique et non le genre, a tranché mercredi la Cour suprême britannique, au grand dam des wokistes dégénérées qui avalent mal la pilule anglaise :
« La décision unanime de cette Cour est que les termes +femme+ et + sexe+ dans la loi sur l’Egalité de 2010 se réfèrent à une femme biologique et à un sexe biologique«
La décision a été accueillie par des cris de joie de plusieurs dizaines de militantes de « For Women Scotland » et par leur responsable, Susan Smith, qui a déclaré :
« Nous pensions que les droits des femmes allaient reculer et aujourd’hui, les juges ont dit ce que nous avons toujours pensé: les femmes sont protégées par leur sexe biologique »
L’association « For Women Scotland » a notamment reçu le soutien de l’auteur d’Harry Potter, Mme J.K. Rowling, qui vit en Écosse et a multiplié les prises de position sur le sujet, lui valant d’être accusée de transphobie.
Le mot « sexe » se limite dorénavant, au Royaume-Uni, au sexe biologique.
Oui, la pilule est dure à avaler et nous espérons qu’elle sera rapidement exportée en notre belle France où règnent encore les divagations de la « déconstructrice en chef » Sandrine Rousseau.
Décidément, l’effet Trump gagne le vieux continent et ce n’est pas nous qui allons nous en plaindre.
Rastignac
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