La haine et la bêtise d’une présidente wokiste d’université française :

les femmes afghanes attendent toujours qu’elle dénonce la charia

Voilà un combat qui devrait la faire monter aux rideaux la Sandrine ! Mais, non, elle ne dit rien sur le sujet, trop occupée à traquer le mâle blanc hétérosexuel qu’elle veut – comme elle l’a fait pour son pauvre mari soumis – déconstruire.

Voici les faits rapportés, avec moultes précautions, par les médias Mainstream qui craignent tant l’amalgame quand il s’agit de dénoncer les folies islamistes.

Les talibans ont désormais interdit les parcs et jardins de Kaboul aux femmes afghanes, un des derniers espaces de liberté auxquels elles avaient droit avec les sévères restrictions imposées par le régime islamiste fondamentaliste.

En début de semaine, les talibans ont sommé les responsables des parcs et jardins de fermer leurs portes aux femmes. Jusqu’ici des horaires et jours différenciés avaient été instaurés pour qu’hommes et femmes ne se croisent pas.

“Dans de nombreux endroits, les règles ont été violées”, a justifié mercredi le porte-parole du ministère de la Promotion de la vertu et de la Prévention du vice, Mohammad Akif Sadeq Mohajir. “Il y avait une mixité et le hijab (voile couvrant la tête et le cou) n’était pas respecté. C’est pourquoi une telle décision a été prise pour le moment”, a-t-il poursuivi.

Depuis leur retour au pouvoir en août 2021 après 20 ans de guerre et le retrait des troupes américaines, les talibans ont imposé une interprétation ultra-rigoriste de l’islam. Ils n’ont eu de cesse de restreindre les libertés de femmes à qui ils ont interdit les écoles secondaires et ordonné de porter le voile intégral. Exclues de la plupart des emplois publics, les femmes sont aussi empêchées de voyager seules en dehors de leur ville.

Souvenons-nous bien que c’est cette même Sandrine Rousseau – en octobre 2021 – qui voulait qu’en cas d’infiltration d’éléments radicalisés parmi les réfugiés Afghans, il était de toute façon préférable de les avoir en France pour pouvoir les surveiller “. « Il faut affirmer nos valeurs” clamait-elle alors. “Que chacune et chacun est libre ! Il nous faut les accueillir, il nous faut aussi mettre en place des mesures de surveillance sur les personnes qui arrivent, parce que le risque qu’il y ait une ou deux personnes qui s’infiltrent est évident. »

A coup sûr les pauvres femmes Afghanes préféreraient que leurs fous furieux de maris partent en France apprendre à vivre à l’hystérique wokiste; ça leur ferait au moins quelques vacances et ouvrirait peut-être – soyons optimistes – les yeux à l’islamo-gauchiste qui se fait même huer dans les manifestations féministes [Voir photo ci-dessus].

Bien entendu, les Afghanes qui refuseront d’obtempérer seront frappées -comme d’habitude – à coups de crosse par les talibans et ceci n’entraînera aucune dénonciation chez nos féministes donneuses de leçons : Sandrine Rousseau, Caroline de Haas, Danièle Obono et tant autres.

Elles attendront sans doute que des Afghanes soient tuées pour donner de la voix. Et encore, ce n’est par sûr.

Sources : AFP / Marianne / Atlantico

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