« Quand vous entrez dans la mafia (souvent parce qu’on vous oblige à y entrer), la première chose qu’on vous impose, c’est généralement un meurtre. Pas le meurtre d’un ennemi personnel. Plutôt un inconnu, voire un ami. L’idéal (quand le cadre idéologique le permet), c’est le meurtre d’un enfant. Il faut que ce meurtre soit moralement indéfendable, même aux yeux de celui qui le commet. C’est la condition d’une soumission totale par après.

Tel est le rôle que le mage Ferguson (et ses maîtres moins connus) ont dévolu au monstrueux « confinement ». 10 points de PIB sacrifiés en pure perte, sur l’horizon de l’homo economicus, c’est l’équivalent du meurtre odieux (et il implique d’ailleurs, même dans l’immédiat, des meurtres odieux – notamment par déni de soin). AUCUN politicien élu (non, non, pas même ceux qu’on vous présente comme « autoritaires », sous prétexte que jusqu’en mars 2020 ils risquaient encore de loin en loin une divergence de vues avec le N.O.M.) ne peut survivre à ça. En acceptant le confinement, ils ont brûlé leurs navires.

A partir de là, leurs « partenaires » d’avant mars 2020 (devenus entre-temps, ipso facto, leurs maîtres) savaient qu’ils ne pourraient plus rien leur refuser. Une fois obligés de lever les confinements (même la plus riche des sociétés ne résisterait pas à trois mois d’un tel traitement), ils ont dû – ne serait-ce que pour protéger la narration-écran – accepter les tests, les masques et la « distanciation sociale ». Comme un « moindre mal ». Et pour échapper aux masques, devinez quel sera le « moindre mal » suivant…
Rappelons ce constat simple d’un essayiste français, qui faisait remarquer que les similitudes de modus operandi entre l’oligarchie mondiale et la mafia ne traduisent pas une décadence de celle-là, mais au contraire le fait que celle-ci n’est que l’agglomérat des recalés condamnés à imiter maladroitement les méthodes oligarchiques.

Au passage, saluons d’un petit crachat à la gueule les nobles autistes de la « dissidence », vigoureusement agrippés au monde d’avant mars 2020, qui ont facilité le travail en pensant (dans une naïveté touchante) pouvoir tirer de menus bénéfices collatéraux d’une exploitation opportuniste (donc d’un renforcement) de la narration fergusonienne. « Faire tomber Macron » parce qu’il ne nous donne pas assez de masques, n’est-ce-pas… Et « l’exemple coréen » du dépistage universel… de la grippe. Pauvres cons. C’est pas très chrétien de le dire, mais y en a qui auront amplement mérité leur vaccin. »

Modeste Schwartz, 29 août 2020

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