Pandémie, le retour II : c’est un remake, et un mauvais film qui plus est ! Les mondialistes de l’OMS, les Bill Gates et consorts, refont le coup de la pandémie dévastatrice, zoonose née de nulle part, apparaissant sur tous les continents en même temps, et prédite par ces prophètes de malheur. 

Piccole Note, le blog italien anti-conformiste face à la pensée unique, et qui n’a pas hésité à contrer le narratif covidiste, met à bas le nouveau narratif variolique destiné à entretenir la peur des populations masquées :

« La Nuclear Threat Initiative avait tout prévu : dans un exercice sur les dangers d’une nouvelle pandémie, mené en mars 2021, elle avait en effet indiqué le 15 mai 2022 comme date à laquelle pourrait commencer une nouvelle pandémie, cette fois causée par le monkeypox (variole du singe).

Le NTI, comme l’explique son site internet, est une organisation à but non lucratif pour la protection de la sécurité mondiale, créée pour contrer les menaces nucléaires et biologiques qui mettent en danger l’humanité.

On lit encore sur le site officiel : « En mars 2021, le NTI, en collaboration avec la Conférence de Munich sur la sécurité, a mené un exercice de simulation sur la réduction des menaces biologiques à haut risque.

« La simulation a examiné les lacunes des architectures nationales et internationales liées à la biosécurité et à la lutte contre une pandémie, explorant les possibilités d’améliorer les capacités de prévention et de réponse aux événements biologiques à haut risque. Les participants comprenaient 19 dirigeants et experts faisant autorité d’Afrique, des Amériques, d’Asie et d’Europe avec des décennies d’expérience dans la santé publique, l’industrie de la biotechnologie, la sécurité internationale et la philanthropie. » (sic).

La simulation impliquait une « pandémie mondiale née d’une souche inhabituelle de variole du singe », déclenchée par une attaque terroriste menée dans un pays africain fictif (Brinia), dans laquelle des terroristes utilisent un « agent pathogène modifié dans un laboratoire avec une biosécurité inadéquate et avec peu de contrôle. La simulation se termine avec plus de trois milliards de cas et 270 millions de décès dans le monde ».

Au bas de l’article, nous rapportons la figure de l’étude dans laquelle la date de l’attaque terroriste qui déclenche la pandémie de variole du singe est rapportée qui se trouve à la page 10 du même : 15 mai 2022, en fait.

Pour le reste, la simulation fait référence à l’évolution de la pandémie, à ses contrastes, etc. Si vous souhaitez en savoir plus, vous pouvez vous référer à la description de la simulation en question, qui peut être consultée en cliquant ici.

La NTI n’est pas nouvelle pour des prophéties similaires. Fondée par le sénateur Sam Nunn et Ted Turner, le fondateur mythique de CNN, elle a été prophétique – dans une étude menée en collaboration avec le Johns Hopkins Center – en alarmant sur une éventuelle pandémie désastreuse.

Une alerte qui avait été rapportée par le Washington Post le 14 octobre 2019, avant l’épiphanie du Covid-19, et relancée le lendemain, via un tweet, par Joe Biden, qui n’était pas encore arrivé à la Maison Blanche, qui avait évidemment compris la portée de l’alarme.

L’année dernière, donc, NTI s’est répété avec la variole du singe, un virus qui jusqu’à présent était confiné à quelques cas malheureux et à l’Afrique.

Pour alarmer avec la variole, sans précisions concernant les singes, également Bill Gates, en novembre de l’année dernière. Une alarme qui sonnait alors complètement bizarre, la variole ayant été éradiquée de l’humanité, les derniers virus n’étant conservés que dans deux laboratoires biologiques de haute sécurité (un aux États-Unis et un en Russie). En effet, personne n’aurait pu imaginer que la variole du singe, jusque-là inoffensive, puisse devenir une menace potentielle.

Mais au-delà de cela, il reste la simulation du NTI et sa prévision précise, tant en ce qui concerne le virus potentiellement pandémique, que dans le moment de son apparition, qui est ponctuel presque au jour près. Plus que dans le domaine scientifique, il semble que le NTI évolue dans le domaine de la sorcellerie.

Cela dit, l’attaque par le virus du singe concerne encore quelques cas isolés (…). N’étant pas des sorciers, nous nous limitons à enregistrer les données et à attendre les évolutions. »

 

Francesca de Villasmundo

  

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