PAP N’DIAYE veut africaniser davantage les écoles privées pour qu’elles ressemblent aux écoles publiques.

Certes !

Mais cette politique assassine ne sort pas de son chapeau.

Macron a précisément nommé Pap N’DIAYE à ce poste pour faire avaliser plus facilement la politique anti-française pratiquée depuis des années avec un cynisme révulsant, notamment sous la férule de JM. BLANQUER.

Ce projet n’est en rien une nouveauté, alors même que ce ministre est souvent présenté comme l’anti-Blanquer ; il est au contraire, le parfait continuateur de la politique de ce sinistre personnage qui a travaillé sans relâche à l’effondrement complet du système éducatif pour nos enfants et au rayonnement insultant et assassin pour nos enfants, de la politique scolaire d’excellence en faveur exclusive des élèves issus de l’immigration.*

Le SEPARATISME au bénéfice des élèves issus de l’immigration

C’est ainsi qu’à partir d’une politique scolaire d’excellence en faveur des enfants issus de l’immigration montée en puissance depuis plus de 20 ans, JM. BLANQUER a créé, de 2019 à 2022, en plus de tous les dispositifs en leur faveur qui nous coûte des milliards chaque année, 200 « cités de haute qualité éducative » assorties de la contraction d’emprunts, constituées de réseaux d’établissements de « haute qualité éducative » bénéficiant à plus d’un million d’élèves  et… « sans mixité sociale », est-il bien précisé dans le document sur l’ « école de la confiance » édité sur le site du gouvernement à la rentrée 2021,* scolarité aboutissant à l’obtention d’un « bac français international » bac d’excellence qui n’a rigoureusement rien à voir avec le bac pour nos enfants, procurant un accès largement facilité à l’enseignement supérieur de prestige.

Nos enfants n’ont aucun droit d’accès à ces structures d’excellence.

Il s’agit donc de l’organisation, par le gouvernement, du séparatisme le plus absolu au bénéfice des élèves issus de l’immigration alors même que le gouvernement prétend le combattre, ayant fait voter la loi dite sur le séparatisme, en 2021.

Un combat contre quel séparatisme ?

En réalité, le séparatisme que le gouvernement combat, c’est l’excellence scolaire à destination de nos enfants, et les écoles hors contrat, l’instruction en famille et les quelques rares établissements scolaires rescapés du naufrage de l’enseignement public ou privé sous contrat, type Stanilas, réputé pour ses excellents résultats au bac, au concours général et aux concours d’entrée aux grandes écoles – intolérable pour ceux qui travaillent à déconstruire la France comme Macron et ses sbires – sont dans le viseur du gouvernement.qui lutte donc contre ce – prétendu – séparatisme par la « mixité sociale » organisée par Blanquer dans les écoles publiques et poursuivie par PAP N’DIAYE dans les écoles hors contrat qui scolarisent – rappelons-le – environ 100 000 élèves contre un million dans les « cités de haute qualité éducative » à destination exclusive des élèves issus de l’immigration..

La MIXITE SOCIALE au détriment de nos enfants

La mixité sociale pratiquée par le gouvernement consiste à accueillir davantage d’élèves boursiers ( sur critères sociaux) dans les établissements les plus favorisés, dans le but de casser la dynamique d’excellence de ces quelques écoles, de faire baisser le niveau de l’ensemble des classes,

Et, comment s’y prendre pour favoriser la mixité sociale ?

Plusieurs dispositifs ont déjà été établis par JM. BLANQUER pour les écoles publiques et PAP N’DIAYE n’a plus qu’à les mettre en Å“uvre pour les écoles privées hors contrat.

Sectorisation et dérogations

. L’un des dispositifs les plus utilisés pour l’Ecole publique est de jouer sur la sectorisation et les dérogations.

La « sectorisation » consiste à permettre la scolarisation dans l’établissement le plus proche du domicile, dans un secteur bien délimité par l’administration : c’est le principe de la « carte scolaire » pour lequel il était jusqu’alors, possible d’obtenir des dérogations pour convenances personnelles ; justification désormais supprimée !

Seules, subsistent les dérogations qui consistent à donner une priorité impérative aux élèves boursiers sur critères sociaux afin de faciliter leur accès aux établissements favorisés.

. La mixité sociale peut également s’obtenir en élargissant le secteur de recrutement à un territoire plus vaste incluant des zones dites défavorisées.

Mais, d’autres moyens peuvent être utilisés et le gouvernement ne manque pas d’imagination.

. En 2016, le ministère a été créé un « indice de position sociale » (IPS) afin de multiplier par deux la part des boursiers dans les établissements aux indices de position sociale élevés,

. Par ailleurs, l’accès aux sections spécifiques (disciplines rares) est facilité, par dérogation, pour boursiers ou issus de collèges de REP et REP+*

. Un autre moyen est celui d’augmenter le bonus alloué aux boursiers hors secteur..

Bref ! tous les moyens sont bons et constituent un véritable maquis dont PAP N’DIAYE n’a qu’à poursuivre la mise en Å“uvre.

Conclusion

Le combat contre la France se poursuit donc, sans coup férir.

Or, il nous appartient de combattre cette monstrueuse imposture : nous avons tous les atouts, tous les arguments pour neutraliser les attaques, et les responsables d’associations impliqués dans l’enseignement privé hors contrat doivent en faire usage pour drainer l’ensemble de la population par des actions de masse car nous sommes tous concernés : il s’agit d’un problème de société et non la préoccupation de quelques-uns car l’avenir de la France est précisément dans la qualité de notre Ecole et nous ne pourrons pas survivre si nous ne menons pas ce combat.

  • cf. Cette révolution scolaire qui tue la France

  • REP  réseaux d’éducation prioritaire

  • REP+ réseaux d’éducation prioritaire renforcés

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