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Samedi in albis

Samedi in Albis – Station à Saint-Jean de Latran – Vous tous qui avez été baptisés dans le Christ, vous avez revêtu le Christ.

Au sortir de la fontaine, les néophytes avaient reçu un vêtement blanc, symbole des effets du baptême dans leur âme : ‘Vous tous qui avez été baptisés, vous vous êtes revêtus de Jésus-Christ’ (Com.). Ils le conservaient jusqu’à ce jour qui porte le nom de « Samedi où l’on dépose les vêtements blancs », parce que, réunis à S. Jean de Latran, on leur retirait alors leur robe baptismale. L’Église en voyant rassemblés autour d’elle « ces enfants nouveau-nés » (Ép.) leur demande par la bouche de S. Pierre, son chef, de boire toujours le lait spirituel et pur de la vraie doctrine. Et dans cette basilique, dédiée au S. Sauveur, elle leur rappelle que leurs âmes sont les pierres vivantes d’un édifice spirituel dont le Christ est la pierre d’angle. L’Évangile montre aussi le Prince des Apôtres qui, avant S. Jean, constate la Résurrection de Jésus, dont il doit être le témoin pour toute l’Église. Le septième jour de la plus joyeuse des semaines s’est levé, apportant avec lui le souvenir du repos du Seigneur, après son œuvre de six jours. Il nous retrace en même temps ce second repos que le même Seigneur voulut prendre, comme un guerrier assuré de la victoire, avant de livrer le combat décisif à son adversaire. Repos dans un sépulcre, sommeil d’un Dieu qui ne s’était laissé vaincre par la mort que pour rendre son réveil plus funeste à cette cruelle ennemie. Aujourd’hui que ce sépulcre n’a plus rien à rendre, qu’il a vu sortir de ses flancs le vainqueur qu’il ne pouvait retenir, il convenait que nous nous arrêtions à le contempler, à lui rendre nos hommages ; car ce sépulcre est saint, et sa vue ne peut qu’accroître notre amour envers celui qui daigna dormir quelques heures à son ombre.

A LA MESSE.

L’Introït est formé des paroles du Psaume CIV, dans lesquelles Israël glorifie le Seigneur d’avoir ramené son peuple de l’exil. Par ce peuple nous devons entendre nos néophytes qui étaient exilés du ciel à cause de la faute originelle et de leurs péchés personnels ; le Baptême leur a rendu tous leurs droits à cette heureuse patrie, en les établissant dans l’Église. Au moment de voir expirer la Semaine pascale, l’Église demande au Seigneur, dans la Collecte, que les joies que ses enfants ont goûtées en ces jours leur ouvrent le chemin aux joies plus grandes encore de la Pâque éternelle.

ÉPÎTRE. Les néophytes ne pouvaient entendre, en ce jour, une exhortation mieux appropriée à leur situation que colle que nous adresse à tous le prince des Apôtres, dans ce passage de sa première Épître. Saint Pierre avait adressé cette lettre à de nouveaux baptisés ; aussi avec quelle douce paternité il épanchait les sentiments de son cœur sur ces « enfants nouveau-nés ! » La vertu qu’il leur recommande, c’est la simplicité qui sied si bien à ce premier âge ; la doctrine dont ils ont été instruits, c’est un lait qui les nourrira et leur donnera la croissance ; ce qu’il faut goûter, c’est le Seigneur ; et le Seigneur est plein de douceur. L’Apôtre insiste ensuite sur un des principaux caractères du Christ : il est la pierre fondamentale et angulaire de l’édifice de Dieu. C’est sur lui seul que doivent s’établir les fidèles, qui sont les pierres vivantes du temple éternel. Lui seul leur donne la solidité et la résistance ; et c’est pour cela que, devant retourner à son Père, il a choisi et établi sur la terre une autre Pierre, une Pierre toujours visible qu’il s’est unie à lui-même, et à laquelle il a communiqué sa propre solidité. La modestie de l’Apôtre l’empêche d’insister sur ce que le saint Évangile renferme de glorieux pour lui à ce sujet ; mais quiconque connaît les paroles du Christ à Pierre va jusqu’au fond de la doctrine. Si l’Apôtre ne se glorifie pas lui-même, quels titres magnifiques il nous reconnaît en retour, à nous baptisés ! Nous sommes « la race choisie et sainte, le peuple que Dieu s’est conquis, un peuple de Rois et de Prêtres ». En effet, quelle différence du baptisé avec celui qui ne l’est pas ! Le ciel ouvert à l’un est fermé à l’autre ; l’un est esclave du démon, et l’autre roi en Jésus-Christ Roi, dont il est devenu le propre frère ; l’un tristement isolé de Dieu, et l’autre lui offrant le sacrifice souverain par les mains de Jésus-Christ Prêtre. Et tous ces dons nous ont été confères par une miséricorde entièrement gratuite ; ils n’ont point été mérités par nous. Offrons-en donc à notre Père adoptif d’humbles actions de grâces ; et, nous reportant au jour où, nous aussi, nous fûmes néophytes, renouvelons les promesses qui furent faites en notre nom, comme la condition absolue à laquelle de si grands biens nous étaient octroyés. A partir de ce jour, l’Église cesse, jusqu’à la fin du Temps pascal, d’employer, entre l’Épître et l’Évangile, la forme du Répons appelé Graduel. Elle y substitue le chant répété de l’Alléluia, qui présente moins de gravité, mais exprime un plus vif sentiment d’allégresse. Dans les six premiers jours de la solennité pascale qui sont en rapport avec les six jours de la création, elle n’a pas voulu dérogera la majesté de ses chants ; maintenant que le repos du Seigneur est arrivé, que son œuvre est achevée, elle se livre avec plus d’abandon à la sainte liberté qui la transporte.

ÉVANGILE.

Cet épisode de la matinée du jour de Pâques a été réservé pour aujourd’hui par la sainte Église, parce qu’on y voit figurer saint Pierre, dont la voix s’est déjà fait entendre dans l’Épître. Ce jour est le dernier auquel les néophytes assistent au Sacrifice revêtus de la robe blanche ; demain, leur extérieur n’aura plus rien qui les distingue des autres fidèles. Il importe donc d’insister auprès d’eux sur le fondement de l’Église, fondement sans lequel l’Église ne pourrait se soutenir, et sur lequel ils doivent être établis, s’ils veulent conserver cette foi dans laquelle ils ont été baptisés, et qu’il leur faut garder pure jusqu’à la fin pour obtenir le salut éternel. Or cette foi se maintient inébranlable en tous ceux qui sont dociles à l’enseignement de Pierre, et qui révèrent la dignité de cet Apôtre. Nous apprenons d’un Apôtre même, dans ce passage du saint Évangile, le respect et la déférence qui sont dus à celui que Jésus a chargé de paître le troupeau tout entier, agneaux et brebis. Pierre et Jean courent ensemble au tombeau de leur maître ; Jean, plus jeune que Pierre, arrive le premier. Il regarde dans le sépulcre ; mais il n’entre pas. Pourquoi cette humble réserve dans celui qui est le disciple bien-aimé du maître ? Qu’attend-il ? — Il attend celui que Jésus a préposé à eux tous, celui qui est leur Chef, et à qui il appartient d’agir en chef. Pierre arrive enfin ; il entre dans le tombeau ; il constate l’état des choses, et ensuite Jean pénètre à son tour dans la grotte. Admirable enseignement que Jean lui-même a voulu nous donner, en écrivant de sa propre main ce récit mystérieux ! C’est toujours à Pierre de précéder, de juger, d’agir en maître ; et c’est au chrétien de le suivre, de l’écouter, de lui rendre honneur et obéissance. Et comment n’en serait-il pas ainsi, quand nous voyons un Apôtre même, et un tel Apôtre, agir ainsi envers Pierre, et lorsque celui-ci n’avait encore reçu que la promesse des clefs du Royaume des cieux, qui ne lui furent données effectivement que dans les jours qui suivirent ?

Les paroles de l’Offertoire sont tirées du Psaume CXVII, qui est par excellence le Psaume de la Résurrection. Elles saluent le divin triomphateur qui se levé comme un astre éclatant, et vient verser sur nous ses bénédictions. Dans la Secrète, l’Église nous enseigne que l’action des divins mystères que nous célébrons dans le cours de l’année, est incessante sur les fidèles. Ces mystères apportent tour à tour avec eux une nouvelle vie et une nouvelle allégresse ; et c’est par leur succession anniversaire dans la sainte Liturgie que l’Église arrive à maintenir en elle la vitalité, qu’ils lui ont conférée par leur accomplissement dans leur temps. Nos néophytes doivent, en ce jour même, déposer leurs habits blancs ; quel sera donc désormais leur vêtement ? Le Christ lui-même, qui s’est incorporé à eux par le Baptême. C’est le Docteur des Gentils qui leur confirme cette espérance dans l’Antienne de la Communion. Dans la Postcommunion, l’Église insiste encore sur le don de la foi. Sans la foi, le christianisme cesse d’exister ; mais la divine Eucharistie, qui est le mystère de la foi, a la vertu de la nourrir et de la développer dans les âmes.

Saints Clet et Marcellin, Papes et Martyrs, vingt-six avril

Sanctoral

Saints Clet et Marcellin, Papes et Martyrs

Deux astres jumeaux se lèvent aujourd’hui sur le Cycle, à la gloire de Jésus vainqueur de la mort. Pour la seconde fois, ce sont deux Pontifes, et deux Pontifes martyrs.

Clet, fils d’Émilien, était de Rome, de la cinquième région et du quartier de Patricius. Il gouverna l’Église sous les empereurs Vespasien et Titus. Conformément au précepte du prince des Apôtres, il ordonna vingt-cinq Prêtres pour la ville de Rome. Il est le premier qui, dans ses lettres, se servit de ces mots : Salut et bénédiction apostolique. Il fit d’excellentes organisations dans l’Église, et l’ayant administrée douze ans, sept mois et deux jours, il reçut la couronne du martyre sous l’empereur Domitien, dans la persécution qui est la seconde après celle de Néron ; il fut enseveli au Vatican, près du corps du bienheureux Pierre.

Marcellin était romain, et gouverna l’Église, de l’an deux cent quatre-vingt-seize à l’an trois cent quatre, pendant la terrible persécution de l’empereur Dioclétien. Il eut à souffrir de nombreuses vexations, par suite de l’injuste sévérité de ceux qui lui reprochaient sa grande indulgence envers les fidèles tombés dans l’idolâtrie, et c’est à cause de cela qu’il fut calomnieusement diffamé, comme ayant offert de l’encens aux idoles. Ce bienheureux Pontife subit la peine capitale pour la confession de la foi avec trois autres Chrétiens : Claudius, Cyrinus et Antoninus. Leurs corps, laissés sans sépulture, devaient en être privés durant trente-six jours, par ordre de l’empereur ; mais le bienheureux Marcel, averti en songe par saint Pierre, prit soin de les inhumer honorablement dans le cimetière de Priscille, sur la voie Salaria ; il était accompagné de Prêtres et de Diacres qui portaient des flambeaux et chantaient des hymnes.

Saint Marcellin avait gouverné l’Église pendant sept ans, onze mois et vingt-trois jours, et pendant ce temps, il fit au mois de décembre deux ordinations, dans lesquelles il ordonna quatre Prêtres et sacra cinq Évêques pour divers lieux.

Bienheureuse Anne de la Sainte Croix, Veuve, Second Ordre Franciscain, vingt-six avril
Honorée comme une sainte, sa cause de béatification est en cours.

Bienheureuse Anne de la Sainte Croix, Veuve, Second Ordre Franciscain

Anne, fille aînée du duc d’Arcos, est née le 3 mai 1527 en Andalousie, l’une des provinces les plus prospères d’Espagne. Le monde lui offrait tout le confort qu’un mondain pouvait souhaiter. Ce que le ciel lui offrait ; son anniversaire devait l’indiquer ; que c’était la fête de la Découverte de la Sainte Croix. Dès son plus jeune âge, Anne a appris à préférer les dons du ciel, même lorsqu’ils étaient des croix, aux attraits du monde. Le célèbre maître de la vie spirituelle, Jean d’Avila, fut son guide spirituel pendant sa jeunesse et le directeur de sa conscience tout au long de sa vie. Elle avait à peine seize ans, lorsque, conformément au désir de ses parents, elle épousa le noble et pieux comte de Feria, Pierre, marquis de Priego. L’état marié n’a pas interféré avec ses anciennes pratiques de piété, d’autant moins que pendant les trois premières années, son mari était absent en campagne avec l’empereur Charles Quint. À son retour, ils se sont soutenus mutuellement dans le véritable service de Dieu et dans la pratique de la vertu, comme devraient le faire les époux véritablement chrétiens.

Anne avait un amour extraordinaire pour les pauvres. De ses propres mains, elle confectionnait des chemises pour les malades et les pauvres. Souvent, elle renonçait aux bijoux qu’elle portait pour leur soutien. Lorsqu’un fils lui naquit et qu’elle l’enferma dans ses bras après le saint baptême, Dieu Tout-Puissant lui révéla qu’il reprendrait bientôt l’enfant avec lui. Bien que choquée, la jeune mère soumit aussitôt son cœur à la volonté de Dieu. Au bout de quelques jours, l’enfant mourut, mais ce ne fut que le début de son chemin de croix. Quelques années plus tard, son mari tomba malade. Anne était constamment avec lui pour son confort et son bien-être, ne quittant presque jamais son chevet. Durant les trois années que durèrent ses souffrances, elle ne se déshabilla pas, afin d’être constamment à son service. Le Vénérable Louis de Grenade assista le duc à sa mort. Lorsqu’il exhala son âme avec le baiser qu’il imprima sur le crucifix, son confesseur passa alors le crucifix à la duchesse, elle l’embrassa également avec ferveur et dit : « Désormais, il sera mon unique époux. »

La veuve de vingt-quatre ans ne pensait qu’à consacrer sa vie à Dieu. Elle aurait bien voulu entrer au couvent des Clarisses, mais sa santé délicate ne le justifiait pas. Elle est donc restée avec sa belle-mère. Pour mortifier sa propre volonté, elle voulut faire vœu d’obéissance à son père confesseur qui ne jugea pas prudent qu’une femme veuille obéissance à son confesseur, et c’est pourquoi il lui conseilla de jurer obéissance à sa belle-mère. Anne a fait cela et, par la suite, elle a toujours demandé la permission de sa belle-mère, même pour les choses les plus insignifiantes.

Après une période de plusieurs années, pendant laquelle son désir de vie conventuelle grandit, sa santé parut aussi s’être merveilleusement améliorée, de sorte que le directeur de son âme et, enfin, sa belle-mère consentirent à son entrée au couvent du La pauvre Claire est à Montilla. Anne était ravie. Au couvent, elle refusait toute distinction et toute exception. Comme si elle était la servante des autres sœurs, elle accomplissait les tâches les plus humbles. Elle observait la pauvreté avec une telle rigueur qu’elle ne souhaitait pas accepter le moindre cadeau de ses riches parents. Sa dévotion au Saint-Sacrement était animée de la foi la plus vive et de l’amour le plus ardent. Elle passa de nombreuses heures continues devant le Tabernacle dans le plus doux échange de sentiments avec son Seigneur caché, c’est pourquoi elle fut appelée « l’épouse du Saint-Sacrement ».

Mais la croix devait aussi la tester au couvent. Sa santé déclina de nouveau, et pendant trente ans de maladie presque continue, elle pratiqua une parfaite résignation à la volonté de Dieu. A cela s’ajoutaient les vexations des gens qui lui étaient redevables, mais elle ne s’en plaignait jamais. Son frère, le nouveau duc d’Arcos, qu’elle aimait beaucoup, décède. En recevant la nouvelle de sa mort, elle prit le crucifix et dit : « Seigneur, comme tu veux ; il t’appartenait plus qu’à moi ». Ses prières produisirent de nombreux résultats merveilleux dans ses maladies, mais elle ne se soucia jamais de prier pour obtenir le soulagement de ses propres souffrances. Finalement, la patiente malade partit vers son repos éternel le 26 avril 1601. Honorée comme une sainte, sa cause de béatification est en cours.

Notre-Dame du Bon Conseil, vingt-six avril

Notre-Dame du Bon Conseil

L’apparition de Notre-Dame du Bon Conseil est si célèbre, Son image si répandue et si honorée dans l’Église, qu’il convient de donner place à cette forme de dévotion. La petite ville de Gennazano, à dix lieues environ de Rome, sur les montagnes de la Sabine, honora, dès le Ve siècle, la Sainte Vierge sous le vocable de Notre-Dame du Bon Conseil. Au XVe siècle, l’église menaçait ruine. Une pieuse femme, nommée Pétruccia, entreprit de la reconstruire, malgré ses quatre-vingts ans; elle y employa sa fortune, qui ne suffit pas à l’achever.

Pétruccia prédit que la Sainte Vierge achèverait l’oeuvre. Or, le 25 avril 1467, à l’heure des vêpres, une céleste harmonie se fit entendre dans les airs, la foule vit descendre une nuée brillante qui alla se reposer sur l’autel de la chapelle de Saint-Blaise, par où avait commencé la restauration de l’église. Au même moment, toutes les cloches du pays sonnèrent leurs plus joyeuses volées. La nuée disparue, la foule émerveillée aperçut une image de Marie portant l’Enfant Jésus, peinte sur enduit et se tenant au fond de l’autel, près du mur, sans appui naturel. Il fut dûment constaté que cette peinture avait été transportée miraculeusement d’une église de Scutari, ville d’Albanie. La Providence avait voulu la soustraire aux profanations des Turcs, maîtres de ce pays, et l’envoyer comme récompense de la foi de Pétruccia et des habitants de Gennazano.

L’histoire des merveilles de tous genres accomplies, depuis ce temps, autour de l’image miraculeuse, demanderait des volumes entiers. Souvent on a vu l’image changer d’aspect, et les yeux de la Sainte Vierge prendre un air de vie exprimant la joie ou la douleur. Que de maladies et d’infirmités guéries! Que de grâces spirituelles obtenues!  Gennazano est toujours un lieu de pèlerinage vénéré et très fréquenté, et beaucoup de pieux pèlerins même étrangers à l’Italie, si le temps le leur permet, tiennent à visiter ce sanctuaire béni. Les souverains Pontifes ont comblé d’indulgences la dévotion à Notre-Dame du Bon Conseil, et Léon XIII a inséré dans les Litanies de la Sainte Vierge le titre de Mère du Bon Conseil.

Martyrologe

A Rome, l’anniversaire du bienheureux Clet, pape et martyr. Il fut le deuxième successeur de l’apôtre Pierre dans le gouvernement de l’église, et reçut la couronne du martyre, pendant la persécution de Domitien.

Saint Marcellin, pape et martyr, dont l’anniversaire est mentionné le 8 des calendes de novembre (25 octobre).

A Amasée, dans le Pont, saint Basilée, évêque et martyr. Il souffrit une mort glorieuse sous l’empereur Licinius. Son corps fut jeté à la mer; mais un chrétien, nommé Elpidiphore, averti par un ange, le retrouva et lui donna une sépulture honorable.

A Braga, en Lusitanie, (auj. le Portugal), saint Pierre martyr, premier évêque de cette ville.

A Vienne, en France, saint Clarent, évêque et confesseur.

A Vérone, saint Lucidius évêque.

Au monastère de Centule, en France, saint Riquier, prêtre et confesseur.

A Troyes, en Gaule, sainte Exupérance vierge.

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