Ce n’est plus moi qui vis, c’est Jésus qui vit en moi.

Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi soit-il.

Bien chers Pères, chers Frères, chers fidèles,

Chère Roland, cher Jeanne,

Il y avait une petite fille de 4 ans et demi qui, avant de faire sa première communion avait été interrogée par le prêtre qui la préparait ; il lui posa entre autres cette question : Lorsque tu manges du pain ou tu bois du vin, que deviennent le pain et le vin que tu as mangés ? Et la petite fille sut répondre : ils deviennent moi, ils deviennent ce que je suis.

Et alors le prêtre a été un peu plus loin : Et quand tu vas communier, c’est-à-dire quand tu vas manger Jésus en quelque sorte, qu’est-ce qu’Il va devenir ? La petite fille a hésité un petit peu, mais elle a répondu lentement : ce n’est pas moi qu’Il va devenir, Jésus, mais c’est moi qui vais devenir Jésus, c’est moi qui deviendrai Lui. Cette petite fille avait compris l’essentiel de la communion, mes bien chers fidèles, chers communiants.

Qu’est-ce que la communion ? Eh bien, c’est être transformé en Notre-Seigneur Jésus-Christ, et c’est le sacrement principal de notre sainte religion précisément pour cela.

En ce beau jour de première communion, c’est là-dessus que nous devons nous arrêter. Nous qui avons la grâce de communier déjà depuis des années, ça doit être l’occasion de ranimer en nous la flamme, oui, la ferveur envers ce sacrement. Puisque si nos vies ne sont pas encore au degré de sainteté où le bon Dieu veut les mener, c’est très certainement que nos communions ne sont pas assez ferventes, pas d’une ferveur, disons sensible, mais d’une ferveur profonde basée sur la foi. Et c’est cette grâce que nous pouvons demander dès maintenant et pour nous-mêmes et pour ces deux jeunes premiers communiants qui vont commencer à grandir en quelque sorte, puisque c’est ce sacrement qui est fait pour nous conduire à notre taille adulte, notre taille de grand en communiant : en nous nourrissant de Jésus, on devient Saint. C’est le seul moyen de devenir Saint, c’est par Jésus, en devenant comme Lui, ou plutôt en Lui laissant la place, en Le laissant nous transformer en Lui.

Si l’on revient un petit peu en arrière dans l’histoire de notre pays, Charlemagne faisait la guerre aux Saxons, alors je ne connais pas les dates parce que je ne les retiens pas, mais ce n’est pas grave. Et à l’occasion du temps pascal, il avait envoyé à une ambassade auprès des ennemis saxons, les rois saxons, pour leur demander s’ils accordaient en ce temps de guerre un moment de trêve. Il demandait 15 jours de trêve afin que ses soldats et lui-même puissent aller précisément faire leur communion pascale, aller communier. Et alors WITIKIND qui était un des rois saxons, interloqué par cette demande, bien sûr, accorde la chose. Il dit : bon on va bien faire une pause, ça nous sera aussi avantageux pour nous. Et encore païen, il va profiter de l’occasion pour se déguiser et il va aller voir ce qui se passe chez les soldats français à ce moment, en ce moment de trêve. Pourquoi voulait-il ce moment de trêve ? Et alors il va assister à la fête de Pâques et voir la messe célébrée à cette occasion et voir toute l’armée française s’avancer à la sainte table. Il va être profondément touché par le respect de toute cette armée, qui va communier, qui va s’avancer pour recevoir Notre Seigneur Jésus-Christ, leur Roi.

Et alors, WITIKIND s’est en quelque sorte providentiellement fait attraper et va être mené ensuite auprès de Charlemagne et il va répondre à ces questions et entre autres, à celle-ci : Et pourquoi es-tu venu t’intéresser à ce qui se passe chez les Français, ça pouvait être dangereux puisque tu as pu te faire attraper. Pourquoi cela ?

Eh bien WITIKIND répondra à Charlemagne qu’il voulait savoir ce qui se passait au moment de ces grandes fêtes chez les chrétiens, chez les catholiques et il précisera à Charlemagne ce qui l’a surtout marqué en cette occasion. Et il dit ceci : Je fus surtout émerveillé et ravi quand le prêtre, revêtu de ses ornements, vint à vous, auprès de l’empereur, à vos officiers et à vos soldats avec un petit pain. Les premiers communiants ont reconnu le petit pain : c’est la petite hostie où Jésus se cache. Voilà ce qu’il a vu, le roi WITIKIND, oui il a eu une grâce particulière : J’ai vu un enfant d’une beauté céleste, tout rayonnant de lumière, et ceux qui le recevaient étaient beaux comme des astres de la nuit. Des soldats, pourtant des soldats, des durs, des combattants revenant d’une grande guerre ; ce n’était sans doute pas des enfants de chœur. Oui, ils étaient beaux comme les astres de la nuit. Pourquoi étaient-ils si beaux ? Bien précisément parce qu’ils recevaient Jésus dans leur âme ; ils étaient transformés par Jésus. Ils laissaient Jésus les transformer et c’est ça que nous devons tous vouloir. Saints par nous-mêmes, on ne peut pas. Par contre, en communiant on reçoit celui qui est la Sainteté-même Celui qui peut nous aider à nous corriger de tous nos défauts, à nous faire monter vers le ciel. Et pour cela, il faut être disposé.

Je veux juste préciser ce que cela veut dire, vivre de la parole de ce que dit Saint Paul : ce n’est plus moi qui vit, c’est Jésus qui vit en moi.

Ce n’est pas une question matérielle, physique, on ne va pas prendre les mêmes apparences que Jésus, mais on va en quelque sorte prendre la même âme, le même intérieur, la même vie spirituelle. Et cela se fait d’abord donc par la foi. Ce n’est pas une question de sensibilité. Mais je ne ressens rien quand je me je m’accoude au banc de communion, quand je viens à la Sainte Table je n’ai pas l’impression d’être en extase. Ce n’est pas grave, mes bien chers fidèles, ce n’est pas le plus important. Par contre, est-ce que vous mettez suffisamment de foi ? Est-ce que vous croyez en l’acte que vous posez, et pas juste d’une foi vague. Ben j’y ai cru au début. Bien sûr. Roland et Jeanne y croient, cette petite hostie qu’ils vont recevoir, c’est Jésus. Et donc nous devons renouveler incessamment cet acte de foi.

La Sainte Église nous présente un peu de pain et sur ce pain, elle nous demande de jurer. De jurer quoi ? Que Jésus Christ y est tout entier avec sa nature divine et sa nature humaine. Faisons déjà cet acte de foi, c’est la base de cette transformation en Notre-Seigneur. Si l’on ne met pas à la base notre foi, on va se laisser avoir. Bien sûr, les sentiments vont s’émousser en quelque sorte, après 40 ans de communion, on ne communie plus de la même manière. Et pourtant nos communions devraient devenir meilleures à chaque fois. Oui, elles deviendront meilleures si nous mettons cette foi, si à la base, si, avant d’aller communier, je dis, je crois, je crois de tout cœur, je crois fermement, quelles que soient les tentations, quelles que soient les apparences, je veux croire fermement. Et après, cette foi, vient bien sûr notre espérance, notre extraordinaire espérance, celle qui doit changer notre quotidien. On peut, à l’occasion de notre pèlerinage terrestre être plus ou moins ébranlé dans cette espérance. Les familles ont des soucis. Les attraits du monde, l’esprit du monde peut venir chambouler un peu nos âmes. Peut-être les attacher quelque peu à cette terre ; et les joies éternelles qui sont si loin, semble-t-il, on les oublie plus ou moins durant la semaine. Eh bien, l’occasion de notre communion, mes bien chers fidèles, chers communiants, c’est l’occasion de se retourner vers le Ciel. Réfléchissez un instant si le bon Dieu se donne à nous déjà, dans la sainte communion, il vient nous réconforter, nous encourager, nous donner cette joie ; vraiment, celui qui communie sincèrement en ressort toujours plus paisible, plus doux, plus joyeux, oui, d’une joie profonde. Eh bien, s’il réalise cela en nous, quelles espérances nous pouvons avoir pour le festin éternel, pour ce qu’Il prépare pour nous dans le Ciel ?

Chers fidèles, extraordinaire, la patrie céleste, on ne peut même pas en parler puisque c’est si beau ce qu’Il va nous préparer.

Eh bien, la communion, c’est précisément une préparation à ce Ciel. Jésus l’a dit lui-même : celui qui mange ma Chair et boit mon Sang a la vie éternelle, a cette vie que vous vivrez éternellement. Grandiose, mes bien chers fidèles. C’est cela que nous devons viser, et voyez comme ça doit changer notre semaine. J’ai communié, j’ai toutes les espérances. J’ai déjà un pied, en quelque sorte, dans la patrie céleste. Et c’est cela une véritable communion. C’est cela être transformé en Notre Seigneur, c’est cela changer, véritablement.

Et devenir Saint, puisque la Sainteté, finalement se révèle, se concrétise dans la charité, la charité fraternelle par-dessus tout. Oui, cette troisième vertu théologale achèvera notre transformation en Notre-Seigneur. On ressemblera à Notre-Seigneur dans la mesure où on vit de cette charité. Bien sûr, je vous aime, mon Dieu, mais j’aime aussi le monde. J’aime un peu mon confort, j’aime ceci, j’aime cela. Mais Jésus ? Jésus-Hostie est à peine venu dans notre cœur que chacun de nous peut dire, en vérité, et surtout même en vivre, ce mot de Saint Bonaventure : son Cœur, le Cœur de Jésus, c’est aussi le mien.

Chers fidèles, on peut se sentir un peu froid, mais c’est pas grave, puisque précisément Jésus vient en nous pour aimer, pour aimer à notre place, pour aimer avec nous, pour nous aider. Nous aider à devenir meilleurs dans cette charité, charité envers le prochain, envers telle personne avec qui j’ai un peu plus de peine, tel frère ou sœur ; ce n’est pas grave si je m’attache par ma communion au Cœur de Notre-Seigneur qui va aimer à ma place, qui va faire tout ce qu’il faut pour que je puisse développer cette charité en mon âme. Et alors ? Après une communion, je peux dire en vérité, Eh bien oui, j’aime infiniment, j’aime infiniment, j’aime comme le bon Dieu aime telle personne, je vous aime, ô mon Dieu, puisque Jésus vient aimer à ma place dans mon cœur. Vous voyez que là c’est très grand, la sainte communion, là c’est la Sainteté. Il n’y a pas de doute par cette foi, par cette espérance, par cette charité c’est Jésus aussi qui vit en moi, réellement. Que c’est grand !

On pourrait s’arrêter là, mes bien chers fidèles, et faire une demi-heure au moins d’oraison, de méditation, d’extase en quelque sorte. Ça fait la grandeur de notre sainte religion. Et précisons-le, puisque saint François l’avait remarqué, ça a fait la grandeur de la France, la France de Charlemagne, on le voit par la petite histoire que j’ai racontée au début, était grande à cause de cela, pas seulement pour ses victoires guerrières, mais parce que ces Français communiaient avec ferveur.

Si nous voulons donc refaire cette noble France, si nous voulons redonner à notre pays des soldats, pas seulement des soldats qui se battent à la guerre, mais des soldats qui combattent pour le règne de Notre-Seigneur, il nous faut vivre davantage de cette communion, et ces soldats se forment dès la première communion ; cher Roland, chère Jeanne, dès votre première communion, vous devenez davantage soldat de Notre Seigneur.

Vous voulez faire régner Jésus dans votre cœur, et pas seulement dans votre cœur, mais dans vos rapports avec vos frères et sœurs, etc. En les aimant, en vivant aussi déjà un petit peu pour le ciel, je me prépare à aller au ciel dès ma première communion. Voilà la transformation. Mais pour cela je me permets de prolonger un petit peu en vous donnant quelques bonnes résolutions qui valent bien sûr pour les premiers communiants mais qui doivent valoir aussi pour nous bien chers fidèles, nous ne profitons pas assez de nos communions, c’est évident, puisque sinon nous aurions tous une auréole, nous serions tous peut-être à la place de Sainte Élisabeth ou de Saint Louis, déjà presque canonisés, c’est évident. Une seule communion suffirait normalement à nous rendre saints, mais on n’en profite pas assez, parce qu’on n’est pas assez résolu. On ne peut pas assez vivre de foi, d’espérance et de charité, mais aussi quelques autres petits points qui doivent nous aider à mieux profiter de cette communion, qui doivent finalement être toujours comme notre première communion.

Le premier c’est celui-ci : je ne me coucherai jamais en état de péché mortel.

C’est interdit pour un chrétien puisque perdre sa vie, la vie de son âme, c’est plus grave que d’avoir toutes les maladies de la terre en même temps que d’avoir toutes les tuiles en même temps. Le péché mortel, c’est le drame le plus grand qu’on puisse avoir sur la terre. Eh bien, c’est la résolution que les premiers communiants doivent prendre. C’est la résolution que nous devons prendre aussi puisque nous communions tous les dimanches. En vue de ma communion de dimanche prochain, je dois me maintenir en vie. Je dois absolument me maintenir en vie, ce n’est pas possible autrement. Et c’est là que l’ennemi va jouer. Et dès le jeune âge, chère maman, dès le jeune âge, il va vouloir troubler ces âmes. Il va vouloir détourner ses âmes de la beauté qui leur est donnée par leur communion du dimanche. Alors méfions-nous, on se méfie pour nous-mêmes. Le démon va vouloir troubler, casser cette beauté en quelque sorte. Soyons donc avertis, soyons donc fermes dans nos résolutions, dans nos efforts. Fuir coûte que coûte le péché, surtout le péché grave.

Et pour cela, se confesser fréquemment avec votre communion, bien sûr, il y a la confession fréquente, même si on a, entre guillemets, toujours les mêmes choses à dire, Jésus vient nous aider, il vient nous aider à persévérer dans le bien et à éviter les pièges du démon. Et une autre solution, bien entendu, c’est la contrition parfaite. Dès qu’on fait une petite bêtise, de regretter de demander pardon à Jésus parce qu’on ne l’a pas assez aimé. J’ai communié à vous dimanche, vous êtes venu dans mon âme et là je fais des bêtises encore. Eh bien pardon Jésus ; oui, aidez-moi, aidez-moi à me reprendre, à continuer à mieux faire et comme cela on évitera de tomber dans les pièges du démon qui veut encore une fois nous faire perdre cette vie, nous faire perdre cette ressemblance à Jésus, il ne cherche que cela puisque lui, il veut nous emmener en enfer.

Alors pour cela, joint à cette première résolution, j’en précise une deuxième : je combattrai tous les jours un défaut.

Oui, ce n’est pas normal que quand on vient demander aux jeunes ou aux moins jeunes, est-ce que vous avez une résolution ? Ah non, ce n’est pas le temps de carême, donc je n’ai rien besoin, je n’ai pas besoin de faire d’efforts. Eh bien non, ce n’est pas normal. Celui qui ne veut pas faire effort, il ne peut pas communier le dimanche, ce n’est pas possible puisqu’il recule celui qui n’avance pas, il recule, sa ferveur diminue, il prend de la distance avec Notre-Seigneur. C’est terrible cela, puisque ça conduit au même endroit que le péché grave au final. Combattre ses défauts, c’est déjà ouvrir la porte à Notre Seigneur qui vient dans notre âme, se mettre à disposition de sa transformation. Un auteur disait, il y a peu d’amour du bon Dieu, là où il y a peu d’efforts pour Lui plaire. Nous voulons Lui plaire, nous voulons bien communier, bien le recevoir, il faut faire nos petits efforts, chacun à notre place. Il ne s’agit pas de prévoir de grandes choses, mais chaque jour un petit pas à faire dans le bon sens, dans le sens du mieux. Et pour cela, bien sûr, le Père Confesseur, le directeur spirituel, peut-être même les Pères qui sont responsables à l’école doivent vous aider, chers premiers communiants. Si on vous donne des conseils, bien les suivre ; et  aussi ceux de votre maman. Elle sera là, discrète, délicate bien entendu, mais elle sera là pour vous conseiller. Et puis pour les plus grands qui ont une maman qui est peut-être distante, mais ils ont un époux, une épouse ou un frère ou une sœur avec qui ils s’entendent bien, n’hésitez pas à demander conseil de ce point de vue-là, à vous encourager. C’est cela la vie chrétienne : s’aider à s’élever ce que je peux faire pour mieux plaire, pour mieux recevoir Jésus dimanche prochain.

Cher époux, chère épouse, donne-moi un conseil, aide-moi, encourage-moi… Vous voyez que dans ce sens-là, la communion sera nécessairement meilleure, parce que précisément, j’ai ouvert ma porte à l’amour du bon Dieu. J’ai fait mes petits efforts à moi ; il fera le reste, vous pouvez en être sûr.

Et enfin, je termine par la résolution des résolutions, chers enfants, même si vous ne retenez que celle-là : je communierai toute ma vie avec la Très Sainte Vierge Marie.

Pourquoi ? Parce que c’est elle qui nous a donné Jésus, c’est elle qui sait exactement comment s’en occuper. Quand on a un petit bébé et qu’on ne sait pas trop comment s’en occuper, on le confie à sa maman. C’est la même chose là, on ne sait pas trop comment ou que dire à Jésus dans notre communion ? Bah oui je crois Jésus, Je vous aime, mais je vous le dis 2 fois 3 fois et après j’oublie un petit peu. Eh bien non, on ne peut pas oublier si on le confie tout de suite à la Très Sainte Vierge Marie, elle s’en occupera pour vous chers enfants, et chers grands aussi, elle s’en occupera pour vous. Ne communions pas sans la Très Sainte Vierge Marie, ce n’est pas la peine. On ne fera pas comme il faut les choses, puisque on oublie les choses, on n’a pas toujours les mots qu’il faut, etc.

Oui, c’est la résolution des résolutions, chers enfants, et avec cela on peut-on peut être sûr que si on se retrouve dans 20 ans, vous aurez profité de toutes vos communions et vous serez déjà peut-être au Paradis si le bon Dieu vous conduit jusque-là. Il vous y conduira peut-être encore à un âge plus avancé encore. En tout cas, ce qui est sûr, c’est qu’avec la Très Sainte Vierge Marie, on fera toujours des bonnes communions et elle nous aidera à grandir, à grandir comme Jésus a grandi, en grâce, en Sainteté.

Chers enfants, nous demanderons tout cela pour vous et n’hésitez pas à demander cela aussi pour nous, pour vos familles. Que tous nous nous sanctifiions par le sacrement de l’Eucharistie.

Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, ainsi soit-il.

Fr Fidèle-Marie +, ofm

Morgon, dimanche 14 avril 2024, deuxième dimanche après Pâques, en la fête du Bon Pasteur

Version audio du sermon : 

Antoine de Fleurance

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– 04 février 2024 : Sermon du RP Léon-Marie, ofm – La Sainte Messe expliquée par la Passion
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– 31 mars 2024 – Sermon du RP Marie-Bonaventure, ofm – Le Signe glorieux de la sainte Croix

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