Une nouvelle cause de dépenses dispendieuses pour les hôpitaux publics, s’accroît depuis quelques années, d’abord en Angleterre et maintenant en France : LES TRADUCTEURS…

700.000€ par an pour l’hôpital de Nottingham, 500.000€ à Leicester, 600.000€ à Derby, les frais s’accumulent avec l’affluence migratoire polyphonique. Pour les chômeurs qui possèdent une licence de “tamoul”, ou plus simplement parlent le békélé ou le sanscrit, c’est une aubaine ! Car trouver des interprètes pour les dialectes exotiques n’est pas facile.

La France n’est pas en reste, si la Fédération des Hôpitaux de France minimise le phénomène, dans les couloirs des CHU on murmure la pratique incessante du système D, devenu incontournable : le recours à la famille du patient, au personnel soignant exotique, ainsi qu’au petit personnel auxiliaire (femmes de ménages, “techniciens” de tout bord), engagés à gros bouillons par l’administration hospitalière, est en passe d’être institutionnalisé.

Si une bonne partie des étrangers “malades” sont francophones, baragouiner l’arabe dialectal – si varié – n’est pas à la portée de tout le monde… et les perles rares difficiles à dénicher. Il n’y a pas encore de budget officiel en France pour ces dépenses hospitalières, mais cela va venir, avec le reste !

Docteur Luc Perrel

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Affiche JA 2015

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