C’est une bonne nouvelle : les mondialistes ne gagnent pas à tous les coups !
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a pas obtenu la validation du traité pandémie en discussion depuis deux ans.
“Nous ne sommes pas là où nous pensions que nous serions”, a admis, dépité, le coprésident néerlandais du groupe de négociations, Roland Driece. “N’oublions pas que nous devrions terminer cela” pour sauver de nombreuses personnes, a-t-il ajouté perfidement pour tenter de légitimer ce projet de transférer à l’OMS un pouvoir supranational sur les politiques de santé.
Les mondialistes se lamentant car le mandat de groupe intergouvernemental de négociation va prendre fin. L’Assemblée mondiale de la santé, qui est en réunion ce lundi, devra décider de la suite.
La vigilance reste de mise mais la mobilisation a payé
Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, n’entend pas renoncer à son projet machiavélique et refuse de reconnaître l'”échec” du traité pandémie.
Mais qu’est-ce qui a causé cet échec des mondialistes ? Des dizaines de paragraphes parmi les plus de 30 articles du projet de traité font toujours l’objet d’une foire d’empoigne. Les motifs de discorde ne sont pas toujours les bons mais le résultat, pour l’instant, nous préserve de ce danger totalitaire sanitaire que nous avions maintes fois dénoncé sur ce média.
Il est à noter que, selon des sources de l’OMS reprises par différents médias, la mobilisation sur les réseaux sociaux des opposants à ce traité a joué un rôle non négligeable dans l’échec des négociations. Voilà qui est intéressant pour la suite, même si, bien évidemment, les médias du système qualifient cette mobilisation populaire de “désinformation”.
Il reste maintenant à savoir si, comme c’est probable – et généralement le cas avec les mondialistes -, ils vont remettre le couvert avec de nouvelles échéances, une nouvelle équipe et un nouvel enrobage de leur projet. A suivre.
Léo Kersauzie
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