Francois, Exhortation apostolique Laudate Deum
Francois, Exhortation apostolique Laudate Deum

Laudate Deum et le synode sur la synodalité définissent les priorités de l’Eglise bergoglienne, priorités qui ne sont pas catholiques mais messianistes : écologie punitive et wokisme, doivent ‘créer’ un homme nouveau, l’homme arc-en-ciel, l’homme de l’Agenda 2030, l’homme de l’idéologie mondialiste, l’homme transhumain sans transcendance, pauvre, démuni, culpabilisé, sans racines, sans patrie, sans père et mère digne de ce nom, sans credo catholique.

L’exhortation Laudate Deum consacre l’idéologie de la « crise » climatique anthropique

Avec l’exhortation Laudate Deum consacrée à la « crise » climatique, l’Eglise conciliaire s’engage sur la voie dangereuse de l’idéologie écologique messianiste et/ou millenariste. Le pape François témoigne de ses priorités ‘apostoliques’ en ouvrant le synode sur la synodalité, aux accents woke, par la publication de cette exhortation qui plonge le lecteur dans les considérations politiques, économiques, sociétales tout-à-fait personnelles de Jorge Maria Bergoglio, qui ne peuvent en aucun cas être considérées magistérielles tellement elles sont aux antipodes de la mission d’autorité de l’Eglise catholique qui est de prêcher le Salut par l’Evangile.

« Dans son discours, analyse La Nouva Bussola Quotidiana, le pontife prétend présenter des arguments irréfutables dans les domaines scientifique et technique, sans aucune autorité, et en citant à l’appui des sources déclarées fiables de manière totalement non critique, comme celles des scientifiques appartenant au panel de l’ONU du GIEC (dont l’existence même dépend d’un postulat politique, celui de l’urgence climatique, et non d’une libre recherche de la vérité), tout en rejetant également a priori et sans critique les autres, c’est-à-dire toutes ces critiques de la thèse du changement climatique d’origine anthropique. »

Le synode sur la synodalité fait avancer les pions du wokisme

Millénariste, l’exhortation l’est par son catastrophisme qui affirme que « le monde qui nous accueille s’effondre et s’approche peut-être d’un point de rupture », dont les signes « sont là, de plus en plus évidents » : « Face à la sécularisation et au relativisme radical qui se répandent dans tout l’Occident , (…) l’Église du pape Bergoglio, continue LNBQ, choisit de ne pas cimenter et raviver ses propres fondations transcendantes, mais au contraire de se consacrer à une idée purement immanente du salut, transformant la doctrine du souci de la Création en adhésion passive à l’une des idéologies les plus autoritaires nées du relativisme laïc : cet environnementalisme apocalyptique et millénariste qui attribue à l’égoïsme et à l’avidité de l’homme une transformation catastrophique de la nature cela conduira à sa propre extinction, et lui impose de réparer ce « péché » par l’expiation et la mortification de son style de vie. »

Parallèlement à cet engouement pour l’écologisme punitif, l’Eglise bergoglienne fait les yeux doux au wokisme, autre forme de ce messianisme millénariste qui se veut ‘bâtisseur’ d’un homme nouveau. Le synode qui vient de commencer, entre volonté d’imposer les bénédictions des duos d’invertis et les femmes aux poste ministériels, en sera la consécration. Les participants au synode ont été mis en condition le 1er octobre dernier par une charge contre le mâle blanc dominateur et occidental qui aura ravi les plus purs idéologues de la cancel culture et de la culpabilisation de l’homme blanc. « Je suis vieux, blanc, occidental et je suis un homme ! Je ne sais ce qu’il y a de pire ! Tous ces aspects de mon identité limitent ma compréhension. Je vous demande donc pardon pour l’inadéquation de mes propos » a ainsi déclamé le prédicateur de la retraite spirituelle précédent le synode, le père dominicain Timothy Radcliffe.

L’Eglise conciliaire peut être définie, selon le mot de Mgr Lefebvre, néo-protestante et néo-moderniste, sa fille l’Eglise bergoglienne, née dans le siècle post-moderne, se détermine entre écologie punitive et wokisme. Exit dans ce monde conciliaire et postconciliaire, le Credo catholique, place aux nouveaux dogmes arc-en-ciel universels dont El papa argentin se fait le prosélyte : crise du climat et idéologie lgbtqi.

Le meilleur des mondes bergoglien surfe entre apostasie et diablerie…

Francesca de Villasmundo

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