ONU et propagande LGBT

L’ONU à New York s’apprête à convoquer la 68e session annuelle de la prétendue Commission de la condition de la femme (CSW) du 11 au 22 mars.

Malgré sa promotion comme une conférence visant à promouvoir les intérêts des femmes partout, cette commission est de nouveau dominée par des féministes radicales anti-famille et pro-avortement dont le principal agenda est d’éroder les valeurs de la vie et de la famille.

La session de cette année réitère l’une de ses obsessions : imposer la propagande LGBT, pousser l’éducation sexuelle complète et l’idéologie du genre en France et dans tous les pays. Mais ils y ajoutent un détail dangereux : l’idéologie transgenre.

Et les groupes pro-vie et pro-famille pourraient être interdits d’organiser des événements parallèles qui contrecarrent leurs mensonges.

En revanche, les groupes et organisations de gauche auront le mégaphone de l’ONU pour répandre l’avortement, l’idéologie du genre et le credo LGBTQ+ au nom des femmes.

Conspiration contre la Famille

L’ONU et les élites globalistes woke conspirent pour s’assurer que le seul message soit celui qui soutient les avortements sans limites et la propagande LGBT et transgenre radicale.

•Leur pression pour un accès universel à l’avortement est incessante.
•Leur intention de corrompre les jeunes filles dès leur plus jeune âge avec un endoctrinement pro-avortement est également répétée à travers le document.
•Ils sont catégoriques sur la promotion de l’idéologie transgenre le plus largement possible, plaidant à plusieurs reprises en faveur de bloqueurs de puberté hautement nocifs et de chirurgies de changement de sexe pour les adolescents et les jeunes.

Les statistiques sont effrayantes !

Les idéologues du genre ont commencé à promouvoir le transgenrisme sans considérer ses conséquences dramatiques sur la santé et l’avenir des mineurs. Depuis que cela a commencé, les enfants s’identifiant comme transgenres par imitation se sont multipliés.

Les chiffres au Royaume-Uni, par exemple, sont alarmants : le rapport de la pédiatre Hilary Cass a provoqué un tollé, avertissant d’une augmentation des cas d’enfants transgenres, 154 % de plus en sept ans.

En France, depuis 10 ans, l’augmentation des consultations pour dysphorie de genre est de 2000 à 4000 %. Aujourd’hui, cela concerne 80 % de femmes, principalement des mineures.

L’agenda de la Commission de la condition de la femme (CSW) de cette année n’est pas juste un thème isolé – c’est le reflet d’un tsunami idéologique mondial plus large et plus intense qui cherche à écraser nos valeurs.

C’est un effort concerté pour remodeler et pervertir la compréhension par notre société du genre, de la famille et de la sainteté de la vie elle-même.

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