La mafia albanaise qui a démontré sa férocité au cours du conflit en Serbie et qui a pris le pouvoir au Kosovo avec la complicité des autorités occidentales qui soutenaient déjà l’UCK [milice albanaise du Kosovo], d’où découle la mafia, profiterait des filières d’immigrations clandestines et de la complicité dont elles bénéficient de la part de l’extrême-gauche, pour disputer aux autres groupes ethniques déjà présents sur place l’exclusivité du marché de la drogue avec l’ambition de fortement le développer.
A noter que le syndicat du crime albanais s’est spécialisé dans une prostitution féroce avec trafic d’êtres humains, notamment en provenance des pays de l’Est dans les années 1990, et qu’il a pratiqué l’assassinat des prisonniers serbes durant la guerre de Serbie, pour développer le trafic d’organes. Si cette plaie de l’humanité se développait en France bénéficiant de l’indulgence des autorités pour l’Islam et pour l’immigration clandestine, il est fort à redouter qu’elle ne s’en tiendrait pas au seul trafic de drogue, mais que le trafic d’êtres humains, la prostitution, le trafic d’armes, le développement de l’islamisme, etc. suivraient. La Bretagne n’est pas seule touchée, ainsi que l’expliquait Libération le 9 février.

Contrôler le marché breton

Cette implantation, déjà anticipée par la mafia albanaise, permettra à cette dernière de créer une tête de pont pour le crime organisé albanais en Bretagne. Objectif : contrôler le marché de la drogue et développer massivement le marché de l’héroïne.

La mafia albanaise est déjà engagée dans le travail préparatoire de mise en coupe réglée de la Bretagne. Elle envoie ainsi des membres du syndicat du crime albanais prendre le contrôle de diverses villes bretonnes, à l’instar de Brest. Bénéficiant de l’appui de filière de passeurs membres de l’extrême-gauche locale, notamment du militant trotskiste Olivier Cuzon (lire ici), de nombreux clandestins albanais s’établissent dans la cité portuaire pour y implanter les futurs réseaux de distribution de drogue.

On a pu noter ces derniers mois des opérations d’intimidation contre les réseaux de dealers turcs et maghrébins « traditionnels » qui géraient jusqu’à lors le marché de la dope sur Brest. En novembre dernier par exemple, un ressortissant albanais clandestin était ainsi interpellé après avoir mené des représailles contre des turcs .

Faute d’un front politique breton dur, à la différence de la Corse, l’infiltration albanaise devrait s’opérer sans difficulté et accroître considérablement l’affaiblissement de la population bretonne, déjà affectée par l’usage de diverses drogues. Les partis loyalistes français entendent accompagner le mouvement, Parti Socialiste en tête, tandis que la police française se contente de limiter les aspérités les plus visibles de cette évolution.

Le cas de la Vallée de la Tarentaise

Pour donner un ordre d’idée au lecteur, on soulignera que la frontière franco-italienne est déjà sous la coupe de la mafia albanaise, [notamment la Savoie ndMPI].

Le journal de gauche Libération s’en faisait l’écho récemment (source) :

« Depuis deux ou trois ans, la vallée de la Tarentaise est touchée par l’implantation du trafic d’héroïne et de cocaïne tenu par les Albanais. «Ce sont des réseaux durs, qui suivent un axe Genève-Annemasse-Annecy et maintenant Chambéry et Albertville, explique Anne Gache, procureure de la République à Albertville. Ils ont investi le terrain. Si un point de vente saute, il est immédiatement remplacé. Ils ont déployé des stratégies commerciales, avec un système de fidélisation. Mais les Albanais montent rarement en station, leurs techniques ne seraient pas assez rentables avec une clientèle de passage.» A Albertville, un noyau croissant d’héroïnomanes est alimenté par cette filière, qui propose une «dope très pauvre en héroïne mais pas chère et tout aussi addictive», note un connaisseur. »

La Bretagne devrait connaître une évolution similaire en raison de la politique de remplacement de population voulue par le gouvernement français. Politique dûment mise en place localement par les partis français sur le territoire breton.

La mafia albanaise, connue pour ses méthodes particulièrement violentes (tortures filmées, y compris sur des enfants, etc.), est si crainte que même la mafia italienne évite de s’y confronter. (C’est ce que révèle Breiz atao.)

La Mafia albanaise, dont la sphère d’influence s’étend non seulement sur l’Albanie et le Kosovo –et donc la Serbie-, le Monténégro, et la Macédoine, a connu un essor considérable dans les années 1990 suite à l’effondrement du communisme et du chaos politique qui s’est ensuivi. Depuis cette mafia implante son trafic dans toute l’Europe. En France,  les premiers lots d’immigrés albanais se sont implantés dés les années 1950 lorsque le communisme chinois a chasser nombre d’Albanais vers la Serbie, l’Italie et la France. Durant la guerre de Serbie, la Gauche (et parfois la droite) en France a favorisé l’implantation de communautés albanaises dans notre pays.

Voir aussi à propos de la mafia albanaise : 

Emilie Defresne

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