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Soeur G. avec les nouveaux shampooings solides de l’abbaye de Chantelle ©Abbaye de Chantelle

Résumé de l’opération en cours

À l’abbaye de Chantelle, dans l’Allier, les bénédictines viennent de lancer un nouveau produit : le premier shampooing solide, monastique et éco-responsable ! (cliquez ici pour en savoir plus)

Comme tout bon shampoing, il mousse beaucoup et sent bon (senteur fleur de coton), et il est enrichi en huile d’argan ce qui nourrit et apporte de la brillance aux cheveux. En plus, et c’est la grande nouveauté : ce format de shampooing (solide) ne contient ni plastique, ni masse liquide (eau) à transporter inutilement, ce qui répond donc à une grande aspiration éco-responsable.

Pour ce grand lancement, le défi des sœurs est d’en vendre au moins 1000 avant le 9 février !

Ces nouvelles ventes serviront d’abord pour l’entretien général de cette vieille abbaye millénaire, et ensuite pour financer de la R&D sur l’éco-responsabilité (passer au plastique recyclé pour tous les emballages).

Les précommandes se feront jusqu’au dimanche 9 février 2025 à 23h59 (commandez vite !), et la livraison se fera entre le 25 février et le 11 mars, à domicile ou en point relais. Vous pouvez :

Deux soeurs de l’abbaye de Chantelle travaillent au laboratoire de l’abbaye ©Abbaye de Chantelle

En savoir un peu plus sur les bénédictines de Chantelle

L’histoire de l’abbaye de Chantelle commence au Ve siècle avec la construction d’un château et d’une église dédiés à saint Vincent, sur une colline stratégique proche d’une voie romaine. Mais la vie monastique débute réellement en 937, lorsque les lieux sont donnés aux chanoines de Saint-Augustin par Ainaud et Rothilde, sous l’influence de saint Odon.

Chantelle attire l’attention au fil des siècles : Pépin le Bref s’empare du château au VIIIe siècle, et Anne de Beaujeu en fait sa résidence au XVIe siècle. L’édifice évolue, mais en 1638, Richelieu ordonne la destruction du château, bien que le prieuré, lui, reste intact. La Révolution met fin à la vie religieuse, le site devenant un bien national.

En 1853, des bénédictines restaurent la vie monastique à Chantelle et œuvrent à la réhabilitation des lieux. Dès 1954, pour subvenir à leurs besoins et accomplir leur vie monastique, les bénédictines commencent à commercialiser leurs produits cosmétiques. A l’époque, leurs premiers produits des bénédictines de Chantelle sont un lait de toilette et une eau de Cologne !

Aujourd’hui, une dizaine de sœurs vit à l’abbaye, toujours selon la règle de saint Benoît (écrite en 529), priant et travaillant quotidiennement, aux côtés de quelques laïcs, pour concevoir leurs produits cosmétiques !

Trois soeurs de l’abbaye de Chantelle  ©Abbaye de Chantelle

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