Des expériences visant à atténuer l’intensité du soleil dans le but de freiner le ‘réchauffement’ climatique seront approuvées par le gouvernement britannique dans quelques semaines.
Le gouvernement britannique va approuver des expériences visant à atténuer l’intensité du soleil dans le but de freiner le ‘réchauffement’ climatique
Les Gaulois croyaient que le Ciel pouvait leur tomber sur la tête. Finalement, il est peut-être bien tombé sur la tête du pire Premier ministre de l’histoire du Royaume-Uni, Keir Stramer : son gouvernement est en passe d’approuver des expériences visant à atténuer l’intensité du soleil dans le but de freiner le ‘réchauffement’ climatique dans quelques semaines.
Comme l’écrit ironiquement le Daily Mail britannique qui se fait l’écho, avec de nombreux autres quotidiens, de cette stupéfiante nouvelle : « se prélasser au soleil pourrait bientôt appartenir au passé ».
En effet, l’Agence de recherche avancée et d’invention (ARIA) du gouvernement a réservé 50 millions de livres sterling pour des projets visant à refléter la lumière du soleil loin de la Terre, qui seront annoncés dans les semaines à venir. Les ‘experts’, plus apprentis-sorciers que scientifiques au service d’une recherche étique et morale, envisagent de réduire l’intensité du soleil pour tenter de freiner le fameux ‘réchauffement’ climatique.
Les essais en extérieur pourraient consister à injecter des aérosols dans l’atmosphère ou à éclaircir les nuages en pulvériseraient des particules de sel marin
Les essais en extérieur pourraient consister à injecter des aérosols dans l’atmosphère ou à éclaircir les nuages en pulvériseraient des particules de sel marin dans le ciel afin de refléter la lumière du soleil entrante vers l’espace.
Le professeur Mark Symes, directeur du programme ARIA, a déclaré qu’il y aurait « de petites expériences contrôlées en extérieur sur des approches particulières ». « Nous avons des exigences strictes concernant la durée des expériences et leur réversibilité, et nous ne financerons pas le rejet de substances toxiques dans l’environnement », a-t-il déclaré, mais personne n’est obligé de le croire…
Des voix scientifiques s’élèvent d’ailleurs contre ces futures expériences de géo-ingénierie en raison des risques potentiels. Les critiques ont exprimé leurs inquiétudes quant au fait que les efforts de géo-ingénierie pourraient se retourner contre eux et même aggraver le changement climatique en déclenchant des phénomènes météorologiques destructeurs.
Pour JD Vance, le Vice-Président des États-Unis : la « crise climatique » ne vise pas à sauver la planète, mais à contrôler les populations
Ces expériences, à la « stratégie risquée » et dont la nocivité pour les hommes et la nature est occultée, recevront pourtant le feu vert du gouvernement britannique dans quelques semaines, rapporte le Telegraph.
Et le but officieux de ces expériences dangereuses pour l’humanité ? La réponse pourrait nous avoir été donnée par JD Vance, le Vice-Président des États-Unis, lors de son discours prononcé à Jaipur, en Inde, le 22 avril dernier : la « crise climatique » ne vise pas, selon lui, à sauver la planète, mais à contrôler les populations.
Une « théorie complotiste » de plus qui s’avère réalité…
🌍 NEW : FIN DU NARRATIF CLIMATIQUE – Pour le vice-président américain JD Vance, la « crise climatique » ne vise pas à sauver la planète, mais à contrôler les populations.
🗣️ JD Vance a prononcé ce discours le 22 avril 2025, à Jaipur, en Inde 🇮🇳 pic.twitter.com/nBxw9aBeuf
— Le Canal 17 (@MaelAffarezzo) April 23, 2025
Francesca de Villasmundo
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