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Le pape François plante un arbre au Vatican avec des indigènes d'Amazonie
Le pape François plante un arbre au Vatican avec des indigènes d’Amazonie

Rome, Vatican – Aujourd’hui, jeudi 3 juillet, la salle de presse du Vatican a présenté une nouvelle messe : la Missa “pro custodia creationis”. Initié sous François, le pape Léon XIV finalise le projet : l’église conciliaire abhorre toutes les couleurs de l’arc-en-ciel, gay-friendly, vivre-ensemble et écolo-compatible.

La Révolution arc-en-ciel a réellement trouvé en la Rome néo-moderniste et néo-protestante issue de Vatican II son meilleur allié

La Révolution arc-en-ciel a réellement trouvé en la Rome néo-moderniste et néo-protestante issue de Vatican II son meilleur allié. Elle parle à des milliards de fidèles et discute d’égale à égale avec les puissants de ce monde : elle est donc un éminent relai dont les mondialistes à l’œuvre derrière la Révolution arc-en-ciel « qui conjugue trois forces en synergie : la révolution lgbtq, la révolution anti-raciste, la révolution de la Terre Mère » écrivions-nous sur MPI en 2019.

Le pape François a été un adepte de cette triple révolution, plus qu’un partisan, un maître d’œuvre.

Malheureusement, il semblerait que son successeur, Léon XIV, marche sur ses traces. Après nous avoir gratifié d’une homélie immigrationniste, d’un pur jus bergoglien, le jour de la Pentecôte 2025, voici que le 9 juillet prochain il « présidera, lit-on sur Vatican News, une messe privée à Castel Gandolfo, dans le Borgo Laudato si’, et utilisera pour la première fois le nouveau formulaire de prières pour la Missa “pro custodia creationis”, présenté aujourd’hui, jeudi 3 juillet dans la Salle de presse du Saint-Siège ».

Léon XIV approuve cette nouvelle messe “pro custodia creationis” écolo-compatible et arc-en-ciel

Cette nouvelle messe a été présentée à la presse par le cardinal jésuite Michael Czerny, préfet du dicastère pour le Service du développement humain intégral, et l’archevêque franciscain Vittorio Francesco Viola, secrétaire du dicastère pour le Culte divin et la discipline des sacrements.

Vatican News souligne que « ce formulaire (…) a déjà été lancé sous le pontificat de François, grâce notamment à des collaborations interdicastérielles » et viendra s’ajouter « aux Missae “pro variis necessitatibus vel ad diversa” du Missel romain ».

Le site officiel du Vatican explique le contexte de cette messe :

« Les nouveaux textes, a expliqué le cardinal Czerny, s’inscrivent dans le contexte de deux anniversaires: le Message révolutionnaire pour la Journée mondiale de la paix, signé par ‘saint’ (guillemets de la rédaction de MPI) Jean-Paul II il y a trente-cinq ans, en 1990, et intitulé La paix avec Dieu Créateur, la paix avec toute la Création, et le dixième anniversaire de l’encyclique Laudato si’ sur la sauvegarde de la maison commune, signée par le Pape François en 2015 et qui renvoie à une « écologie intégrale » et non « superficielle ou apparente ». (…) Le nouveau formulaire entend donc être « un soutien liturgique, spirituel et communautaire pour le soin dont nous devons tous faire preuve à l’égard de la nature, notre maison commune ». »

Cette messe s’inscrit dans la prolongation de l’idéologisme environnementaliste, néo-paganisant, bergoglien

S’il est vrai que Dieu est le maître de la Création qu’Il a confié à l’homme, cette messe s’inscrit dans la prolongation de l’idéologisme environnementaliste, paganisant, bergoglien : on passe de la protection de l’environnement au culte de la nature, on détruit la supériorité de l’homme instituée par Dieu sur les autres créatures, on supprime la conversion à Dieu pour établir la conversion écologique, on établit une spiritualité écologique qui surpasse la spiritualité chrétienne, on méconnait les péchés qui offensent la justice divine remplacés par les seuls péchés écologiques… l’harmonie ne nait plus de l’union de l’âme avec son Créateur par la Grâce divine et les sacrements, elle nait, selon l’église conciliaire écolo-compatible dont Léon XIV ne se démarque pas pour l’instant, « avec toutes les créatures (…) d’une expérience de réconciliation qui rend la communion avec Dieu et avec nos frères possible ». L’immanentisme, le naturalisme, le néo-paganisme suintent de tous les pores de cette nouvelle messe pour la création.

La salle de presse du Vatican n’a pas précisé si un formulaire pour le rite ‘extraordinaire’ est prévu. Si tel était le cas, on image le casse-tête des prêtres conservateurs-conciliaires pour faire adopter comme traditionnelle cette ‘messe’ écolo-compatible en l’honneur plus de la terre Mère que du Dieu fait Homme…

Francesca de Villasmundo

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