Greta Thunberg ne fait plus recette ces derniers temps, le minuscule virus covid-19 lui vole la vedette depuis 18 mois maintenant. Même sa photo en Une de Vogue Scandinavia, le titre à paillettes des plus grands pollueurs de la planète, n’a pas rendu la première place à l’égérie des khmers verts.

Greta ne se résigne pas à l’oubli, et trouve toujours des issues pour que l’on parle d’elle : la dernière en date concerne l’avortement, Greta ne pouvait pas laisser filer une telle occasion de se positionner toujours du bon côté.

Et voilà Greta, avec ses tresses de petite fille et son regard glacial, défendre sur twitter l’avortement, critique indirecte de la récente loi texane limitant l’interruption volontaire de grossesse à six semaines. A travers un graphique qui indique en pourcentage les raisons qui poussent les femmes à interrompre une grossesse. Le graphique est évidemment un camembert et en fait ne contient aucune source et est soutenu par une inscription : « Les raisons pour lesquelles les femmes avortent ». «Dans 60% des cas – on peut le lire – il s’agit d’un choix personnel». Mais même à toutes les autres occasions à la fin c’est un problème qui concerne la femme : « Pas ton problème » 10%, « Occupe-toi de tes affaires » 8% et « Va te faire voir » (en plus vulgaire) 22%.

 

Pour cet ayatollah de l’environnement et tous ses semblables, l’avortement est un moyen comme un autre de favoriser la décroissance et cette fameuse dépopulation dont on entend à nouveau parler sur toutes les ondes à la veille de la 26e Conférence sur le climat. L’avortement arrive à la rescousse de la planète. Avortement gratuit, voire obligatoire, pour tous. C’est la recette écologique de Greta & Co pour sauver la planète : on extermine l’humanité, et tout se met en place.

Il y aura pourtant toujours quelque chose d’étonnant à voir tous ces ‘écologistes’ de plateaux, parfaits citadins, qui se croient être des  défenseurs sans pareil de la nature promouvoir ainsi l’avortement, acte contre-nature par excellence.  Mais c’est bien à cela, à ces terribles contradictions, que l’on reconnait la fausseté de leur écologisme virtuel, de leur environnement en carton, et la réalité de leur idéologie malthusienne malveillante envers l’humanité.

Francesca de Villasmundo        

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