Dans une courte vidéo publiée par le “South China Morning Post”, de petits écoliers chinois sont affublés de chapeaux « Coronavirus» , dont les ailerons d’un mètre de long s’étendent à l’horizontale de part et d’autre de la calotte et les obligent à maintenir entre eux la sacro-sainte distanciation sociale.

Le narratif en anglais explique qu’il s’agit d’une initiative imaginative qui permet aux parents de passer un temps “ de qualité” avec leurs enfants en confectionnant ce couvre-chef, tout en les “protégeant”. Les protéger du virus, peut-être, quoique même cela soit discutable. Mais sûrement pas de futurs troubles du comportement.

Ces chapeaux carnavalesques fabriqués à partir de morceaux de carton, de bâtons de bois, de ballons et même d’oignons verts, dit le texte d’accompagnement, permettront aux enfants de ne pas s’approcher les uns des autres. Les chapeaux seraient inspirés d’un accoutrement remontant à la dynastie Song, où les clercs des tribunaux étaient forcés à porter de semblables coiffures à oreillettes, pour les empêcher de se rassembler dans l’enceinte de la Cour pour bavarder.

Pour rappel, certains témoignages de dissidents chinois relatent que si le « virus » (entre guillemets car jamais isolé en tant que tel) s’est d’abord propagé en Chine, c’était pour donner le modèle de riposte autoritaire en exemple aux « démocraties » occidentales et favoriser leur basculement vers le totalitarisme. Opération propagandiste s’il en fut. Cela explique pourquoi les habitants de Wuhan, où l’éruption s’était produite en premier, n’avaient plus eu le droit de voyager à l’intérieur de la Chine alors qu’ils avaient été fortement encouragés à entreprendre des voyages internationaux. Chose qui leur avait permis de contaminer les populations européennes.

Lorsque le président Trump avait voulu fermer les frontières américaines aux voyageurs en provenance de Chine, cela avait été un tollé de la part des démocrates pro-chinois. Joe Biden, qui fait en ce moment l’objet d’une investigation pour sa collaboration avec le Parti communiste chinois, avait même accusé Donald Trump de « racisme » pour sa décision de bon sens qui venait contrarier l’agenda des mondialo-socialistes pro-chinois.

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